DR Congo: Central Africa: USAID/BHA Early Recovery, Risk Reduction, and Resilience Assistance in F

26.03.2024 02:42 Countries: Democratic Republic of the Congo, Uganda Source: US Agency for International Development Please refer to the attached Map.

DR Congo: Bureau for Humanitarian Assistance - Central Africa: Early Recovery, Risk Reduction, and R

26.03.2024 02:42 Countries: Democratic Republic of the Congo, Uganda, United States of America Source: US Agency for International Development Please refer to the attached file. REGIONAL SUMMARY Populations across Central Africa continue to face the consequences of conflict, climatic shocks, displacement, food insecurity and malnutrition, and limited access to health care, safe drinking water, and shelter. In FY 2023, USAID’s Bureau for Humanitarian Assistance provided nearly $61 million to partner organizations conducting early recovery, risk reduction, and resilience activities in the Democratic Republic of the Congo and Uganda. USAID/BHA supported Resilience Food Security Activity programs that improved livelihoods and mitigated the effects of chronic food insecurity. USAID/BHA-supported RFSAs in the DRC improved nutrition outcomes in East Kasai and South Kivu provinces by increasing the availability of nutrient-rich food, conducting cooking demonstrations, and increasing awareness among target populations of available services. USAID/BHA also began three new RFSAs in FY 2023, which aim to bolster the economic, food, and nutrition outcomes of populations in Kasai and Central Kasai provinces. In Uganda, USAID/BHA supported the Association of Volunteers in International Service to improve food security, nutrition, and livelihood conditions for vulnerable refugees and host community households through capacity-building initiatives in Western Region’s Kamwenge District.

DR Congo: RD Congo : Situation humanitaire dans la province de l’Ituri - Rapport situation No. 2

26.03.2024 02:42 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs Please refer to the attached file. Ce rapport est produit par OCHA RDC en collaboration avec les partenaires humanitaires. Il couvre la période du 16 février au 8 mars 2024 FAITS MAJEURS Plus de 91 000 personnes ont bénéficié d’une assistance en cash dans les territoires de Djugu et Irumu Des écoles utilisées comme abris par des déplacés perturbent l’éducation de plus de 8 000 enfants Plus de 90 000 personnes affectées par l’insécurité dans les zones de santé de Drodro et Lita APERÇU DE LA SITUATION Depuis fin janvier 2024, la recrudescence des attaques armées contre les populations civiles fait craindre une reprise des déplacements de population. La dynamique de retour observée depuis le deuxième semestre de 2023 dans certaines contrées risque aussi d’être altérée. Au 29 février, les services de l’Etat et les partenaires humanitaires estiment à plus de 42 000, le nombre de personnes nouvellement déplacées à l’intérieur de la province. Ce qui porte à 1,8 million la population déplacée entre janvier 2021 et février 2024 . Le territoire de Djugu seul compte plus de 700 000 personnes déplacées, soit environ 40% du total de deplacés dans la province. En revanche, plus de 710 000 personnes sont retournées dans leurs milieux de provenance au cours des 18 derniers mois. Entre le 1er janvier et le 3 mars 2024, la Division provinciale de la santé de l'Ituri a enregistré plus de 1 000 cas de rougeole et trois décès dans le territoire d'Aru. Selon les autorités sanitaires, la situation épidémiologique, assez préoccupante dans l’ensemble de la province, se détériore davantage avec plus de 180 cas de peste notifiés, dont sept décès, dans les territoires de Djugu et Mahagi. Par ailleurs, la DPS annonce 28 cas suspects de rage dans ces mêmes régions. En outre, la zone de santé de Bunia a signalé au moins deux cas suspects de variole du singe , ajoutant ainsi une couche supplémentaire aux défis de contrôle de la situation épidémiologique dans la région. Territoire de Djugu Le territoire de Djugu connaît une recrudescence d’attaques contre les civils, sur fond de tension intercommunautaires. Entre le 16 février et le 6 mars, une série d’attaques a fait au moins 25 civils tués à Drodro, Largu, Mbogi, Gina dans les zones de santé de Drodro, Fataki et Tchomia, selon des sources locales et humanitaires. Ces incidents incluent au moins 15 civils tués dans la seule journée du 16 février dans la localité de Tali-Singo. Selon la Société civile de Tchomia et des sources sanitaires, le 5 mars, plus de 12 000 personnes s’étaient déplacées de Mbogi et Nyamamba vers les aires de santé de Sabe, Kikoga, Tchomia/Umoja et Nyamusasi. Selon plusieurs acteurs de protection, le 6 mars, des éléments armés auraient forcé plus de 7 000 personnes retournées à des travaux d’ouverture de l’axe routier Adjesi-Kindia-Mulungu . Au moins 16 personnes auraient été arrêtées, dépouillées de leur bétail et contraintes de payer chacune une rançon 18 dollars pour leur libération, pour avoir refusé de participer à ces travaux forcés. Attaque d’une structure sanitaire à Drodro La résurgence des violences armées dans la zone de santé de Drodro, en particulier dans l’aire de santé de Blukwa, préoccupe la communauté humanitaire de l’Ituri. Le 6 mars, des hommes armés ont fait une incursion dans l'hôpital de Drodro, tuant une patiente de 80 ans. La structure sanitaire a été saccagée, des équipements et médicaments ont été pillés. Le personnel soignant et les patients ont été contraints de fuir. Depuis le 6 mars, cette détérioration de la situation sécuritaire a contraint au moins 10 partenaires humanitaires à suspendre temporairement leurs opérations à Drodro. Néanmoins, ils ont maintenu une présence minimale sur le terrain pour conduire certaines activités essentielles. L’accès humanitaire s’est de plus en plus restreint. Des hommes armés ont bloqué le passage sur au moins quatre principaux axes, empêchant les mouvements des humanitaires. Plus de 99 000 personnes sont ainsi coupées de l’assistance humanitaire dans les zones de santé de Lita et Drodro dont plus de 43 000 personnes déplacées dans le site de Rhoe. Le 8 mars, les autorités locales ont rapporté plus de 31 000 personnes retournés dans leur villages d’origine dans les zones de santé de Réthy et de Linga. Ce mouvement de retour, qui a débuté en juin 2023, a été motivé par l'accalmie dans les localités d'origine et la précarité dans les zones de déplacement. Cependant, le contexte de retour reste fortement marqué par des besoins urgents d'abris, de nourriture et d'articles ménagers essentiels. Ces populations avaient fui les violences des groupes armés non-étatiques et les tensions intercommunautaires en juin 2022. OCHA mobilise les partenaires pour une évaluation des besoins multisectoriels dans les zones de retour en vue d’une réponse. Les zones de santé de Linga et Rethy abritent plus de 89 000 personnes déplacées à la suite des violences armées de 2021. Territoire d’Irumu Entre le 28 février et le 3 mars, des groupes armés non-étatiques ont tué 18 personnes dans une série d’attaques contre les civils dans plusieurs localités de Boga et de Komanda. Au moins dix personnes ont été enlevées dans ces deux zones par des éléments des groupes armés alors qu’un mouvement de retour est en cours, notamment autour de Boga et de Komanda. Territoire de Mambasa Une relative amélioration de la situation sécuritaire est observée depuis juin 2023, notamment sur l’axe MambasaLolwa, zone de santé de Lolwa. Cependant, les interventions humanitaires n’ont toujours pas repris dans cette zone, quoique les centres de santé et l'hôpital général de Lolwa sont opérationnels. Le 8 mars, des éléments armés ont tué deux agriculteurs. Ils ont enlevé quatre autres alors qu’ils étaient dans leurs champs dans l’aire de santé Katanga , selon des sources humanitaires. Cet incident est intervenu cinq jours après l’enlèvement de 12 agriculteurs par un groupe armé non-étatique dans la localité de Mangozi, toujours dans la zone de santé de Mandima. Territoires de Mahagi et Mambasa Plus de 20 écoles utilisées comme abris par des populations déplacées Selon les résultats d’une évaluation du Cluster Education, au moins 25 écoles sont utilisées comme abris par les personnes déplacées dans les zones de santé de Logo, Rimba et Kambala . Cette situation perturbe la scolarité de plus de 8 000 enfants. Pour remédier à cette situation, le Cluster Education a recommandé aux autorités provinciales d’identifier un endroit sûr et protecteur pour construire des abris provisoires pouvant accueillir les déplacés. Dans le territoire de Mambasa, au moins 16 200 enfants sont hors circuit scolaire dans la Sous-Division Educationnelle Mambasa 1. Ceci représente 29% du total des enfants en âge scolaire au cours de l’année scolaire 2023-2024. Selon les autorités locales du secteur Education, le travail dans les mines, la précarité économique des parents déplacés et retournés sont, entre autres, les causes de ce phénomène.

Democratic Republic of the Congo - Humanitarian profile: Sud-Kivu and Maniema

25.03.2024 17:51 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs Please refer to the attached Infographic.

DR Congo: République démocratique du Congo : Perspectives sur la sécurité alimentaire - Février - Se

22.03.2024 22:41 Country: Democratic Republic of the Congo Source: Famine Early Warning System Network Please refer to the attached file. Messages clé Depuis le dernier trimestre 2023, la multiplication des attaques menées principalement par les groupes armés les rebelles M23, les ADF, le CODECO et les milices Mobondo ont élevé un niveau de violences, occasionnant de nouveaux déplacements des populations. Avec l'arrivée des troupes de la SADEC en renfort à l'armée nationale, une augmentation de violences est attendue et par conséquent des mouvements des populations supplémentaires. sont déjà touchées par ces mouvements incluant les déplacés internes, les retournés et les ménages d'accueil. Ces personnes éprouvent une limitation d'accès à leurs sources typiques de nourriture et de revenus. Les zones les plus impactes par la crise sécuritaire à l'est du pays restent en Crise . En plus des effets conjugués de l'insécurité et des mouvements des populations, les deux dernières saisons agricoles ont connu une pluviométrie excessive supérieure à la normale causant ainsi des inondations, des éboulements de terres cultivées, des destructions des actifs pour des milliers de ménages, avec des infrastructures endommagées. Selon le gouvernement congolais, environ un demi-million de ménages ont été touchés et 400 mille hectares de terres cultivées détruits dans 18 des 26 provinces du pays, ce qui représente environ 3.5 pour cent de terres cultivées. Le franc congolais continue sa dépréciation au cours de l'année 2024. En janvier, cette monnaie a connu une dépréciation hebdomadaire de 1.34 pour cent. Par conséquent, les prix des principales denrées augmentent de façon inhabituelle sur les marchés en RDC. En janvier 2024, le prix des denrées de base était environ 27 pour cent au-dessus de celui de l'année dernière et 134 pour cent au-dessus de la moyenne quinquennale. Les effets conjugués de la dévaluation de la monnaie locale et de la hausse continuent des prix des produits stratégiques comme le carburant maintiennent les prix des denrées en hausse continue. En ce mois de février 2024, dans une ambiance de reprise des hostilités à l'est du pays, les zones les plus impactées par les conflits sont en Crise . Dans la cuvette centrale, notamment dans la province de l'Equateur qui a subi des inondations est aussi en Crise . Les provinces de Sankuru, Tshuapa, Tshopo, Haut-Uele, Bas-Uele, Sud Ubangi, Nord Ubangi, Mongala, Kasaï Oriental, Kasaï Central, une partie du Maniema et Haut-Katanga qui sont stable, et où les ménages ont un meilleur accès à la nourriture, seront en situation de Stress , laquelle s'étant sur une vaste partie du pays. Les provinces de l'ouest et celles du sud-est qui n'ont pas connu des chocs importants et qui n'accusent pas de déficit de consommation alimentaire restera en Minimale .

DR Congo: La crise de la faim en RDC s'aggrave pendant que des familles fuient à nouveau les combats

22.03.2024 22:41 Country: Democratic Republic of the Congo Source: World Food Programme GOMA -- La crise alimentaire provoquée par le conflit en République démocratique du Congo s'aggrave à mesure que la violence s'intensifie dans les provinces de l'Est, obligeant des familles à fuir à nouveau. Alors que de plus en plus de personnes arrivent dans des camps déjà surpeuplés, le Programme alimentaire mondial des Nations unies peine à nourrir ceux qui en ont le plus besoin, car le financement humanitaire ne suit pas. Le conflit a déplacé près d'un million de personnes en RDC depuis le début de l'année, la plupart arrivant à Goma, ce qui a entraîné des pénuries alimentaires et rendu le prix des denrées alimentaires sur les marchés de Goma hors de portée pour de nombreuses personnes. En réponse, le PAM a considérablement élargi ses opérations d'urgence dans l'Est, triplant le nombre de personnes bénéficiant d'une aide alimentaire, qui est passé d'une moyenne de 400 000 personnes en mai 2023 à une moyenne de 1,3 million de personnes aujourd'hui. Toutefois, l'agence alimentaire des Nations unies ne dispose pas des fonds nécessaires pour poursuivre cette intervention d'urgence. Lors d'une récente visite à Goma, la directrice exécutive du PAM, Cindy McCain, a pu constater directement les horreurs vécues par les millions de personnes touchées par le conflit. "La ville de Goma est entourée de milliers et de milliers d'abris temporaires et les gens n'ont pas de nourriture, d'eau courante, de toilettes. C'est une catastrophe à venir. Et surtout, c'est une génération que nous risquons de perdre parce que nous ne pouvons pas la nourrir", a déclaré la directrice exécutive McCain. Environ un quart de la population de la RDC - 23,4 millions de personnes - est confronté à des niveaux de crise de la faim ou pire. Beaucoup vivent dans des conditions de pauvreté et d'exiguïté, avec peu ou pas d'accès à la nourriture, aux services de santé et à l'éducation. L'aggravation de la crise alimentaire s'accompagne d'une situation catastrophique pour les femmes et les jeunes filles, en particulier celles qui vivent dans les camps de personnes déplacées internes. Les femmes et les jeunes filles sont constamment menacées de violences sexuelles, notamment lorsqu'elles vont chercher du bois à vendre pour acheter de la nourriture pour leur famille. Il est essentiel de mettre l'aide alimentaire à la disposition des femmes et de leur fournir des moyens de subsistance pour réduire les taux effrayants de violence basée sur le genre en RDC. Le PAM a besoin de 548,5 millions de dollars pour poursuivre ses opérations en RDC. Au minimum, le PAM a besoin de 425 millions de dollars pour les six prochains mois afin de soutenir les personnes les plus démunies dans l'est de la République démocratique du Congo, où la violence a entraîné des déplacements massifs de population. **Note aux rédacteurs : ** Vidéos disponible Photos # Le Programme alimentaire mondial des Nations Unies est le plus grand organisme humanitaire au monde il sauve des vies en situations d'urgence et utilise l'assistance alimentaire pour ouvrir une voie vers la paix, la stabilité et la prospérité au profit de ceux qui se relèvent d'un conflit ou d'une catastrophe ou subissent les effets du changement climatique. Suivez-nous sur X, anciennement Twitter via @WFPDRC et @WFP_FR

Explosion injures four children in Minova, UNICEF fears massive rise in displacement in eastern DR C

22.03.2024 22:41 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Children's Fund GOMA, Democratic Republic of the Congo, 22 March 2024 – A major upsurge in violence in the east of the Democratic Republic of the Congo that has seen at least 400,000 people displaced in North Kivu since the beginning of the year risks exposing children to further violence unless their protection can be reinforced. In the latest incident on Wednesday highlighting the spillover of the conflict into South Kivu province, an explosion in the town of Minova seriously injured four children who require hospital treatment. “It is tragic that at a busy time of day when many children were returning home from school, this explosion from a bomb maimed four innocent children,” said Katya Marino, UNICEF Deputy Representative to the Democratic Republic of the Congo. “The town is already under incredible strain with massive numbers of new arrivals of internally displaced people” More than 95,000 newly displaced people, half of whom are children, arrived in Minova in February as the conflict in North Kivu expanded. Over the past week, UNICEF and local partners distributed essential household supplies in Minova to more than 8,300 newly displaced families. The area is now increasingly difficult to access with assistance, either by road or boat. In Minova, UNICEF has been assisting children affected by the conflict with a package of basic services since 2023, including wash and health interventions, while supporting community-based networks to refer and protect children affected by armed conflict. In February alone, UNICEF and partners provided tailored and age-specific mental health and psychosocial support services to more than 1,900 children, provided temporary care to 150 children unaccompanied by or separated from their families while making efforts to find their families, and supported more than 300 survivors of gender-based violence with medical, psychosocial and legal services and economic reintegration. UNICEF calls on all parties to the conflict to prioritize the protection of civilians and allow humanitarian agencies to do their work. Media contacts Sara Alhattab UNICEF New York Tel: +1 917 957 6536 Email: salhattab@unicef.org Lianne Gutcher UNICEF DRC Tel: +243 820 996 405 Email: lgutcher@unicef.org

DR Congo: Communiqué de presse : le Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme publie l

22.03.2024 13:41 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: UN Office of the High Commissioner for Human Rights, UN Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of the Congo Please refer to the attached file. Dans le cadre de son mandat, le Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme en République démocratique du Congo assure un suivi étroit de la situation des droits de l’homme et analyse les tendances des violations et atteintes commises dans le pays. Ces tendances sont régulièrement partagées avec les autorités afin qu’elles prennent les actions nécessaires, y compris traduire en justice les auteurs présumés de ces faits. En janvier 2024, le BCNUDH a documenté 371 violations et atteintes aux droits de l’homme sur l’ensemble du territoire de la République démocratique du Congo avec 949 victimes , ce qui représente une diminution de 4% par rapport au mois précédent. A l’instar des périodes précédentes, des membres des groupes armés ont été responsables de la majorité des atteintes documentées dans le pays avec 217 atteintes et 142 pour les agents de l’Etat . Pendant le mois de janvier 2024, le BCNUDH a documenté 305 violations et atteintes dans les provinces en conflit, notamment dans les provinces du Nord-Kivu , de l’Ituri , du Tanganyika , du Sud Kivu et du Maniema . Dans les provinces non affectées par le conflit, le BCNUDH a documenté 59 violations commises par les agents de l’Etat, notamment dans les provinces du Haut-Katanga de Kinshasa de Sankuru du Kasaï et Lualaba du Kasaï-Central, du Kongo-Central, Lomami , Kasaï-Oriental . Dans le Petit Nord, en janvier 2024, la situation en matière de sécurité et de droits de l'homme s'est considérablement détériorée dans les territoires de Rutshuru et de Masisi, en raison de l'intensification des combats entre le M23 soutenu par les forces armées rwandaises et des militaires des FARDC ainsi que des groupes armés regroupés au sein des Wazalendo qui se battent aux côtés des forces armées nationales. Plusieurs cas de violations des droits de l'homme et d'abus ont été documentés, ainsi que des allégations de violations du droit international humanitaire par les parties au conflit. Par exemple, il a été confirmé que le M23 a forcé des personnes déplacées à retourner dans leurs villages d'origine, malgré l'insécurité persistante ou qu'il leur a interdit de se déplacer volontairement vers des zones plus sûres. Dans le Grand Nord et la Province de l'Ituri, en particulier sur l'axe routier Mbau-Kamango dans la province du Nord Kivu et le territoire de Mambasa dans la province de l'Ituri, la recrudescence de l'activisme des ADF persiste en dépit des opérations conjointes FARDC-UPDF contre ce groupe. En janvier 2024, le BCNUDH a aussi observé la dégradation de la situation des droits de l’homme dans la commune rurale de Mangina, due à l’activisme des ADF mais aussi des membres des groupes Maï-Maï UPLC, Baraka, Kyandenga et Vérandistes qui se sont affrontés avec les FARDC, causant à nouveau des déplacements massifs de civils. Les cas de violences sexuelles liées au conflit sur des victimes ont baissé en janvier 2024 par rapport au mois précédent. Le BCNUDH a enregistré huit incidents de VSLC avec 13 victimes adultes contre 37 victimes pour le mois précédent. Parmi ces incidents, deux concernaient des cas de viol collectif, cinq des cas d’enlèvements et un cas de viol. A l’instar du mois précédent, des membres de groupes armés ont été responsables de 92 % de ces violences sexuelles, avec un total de 12 victimes. Le groupe de travail sur le monitoring et le rapportage des six graves violations contre les droits de l’enfant a constaté une augmentation de plus de 25% du nombre total de violations vérifiées par rapport au mois de décembre 2023. Pendant le mois de janvier 2024, le BCNUDH a documenté 29 violations et atteintes des droits de l'homme liées à l'espace démocratique ayant fait 60 victimes, dont deux femmes ; ce qui constitue une diminution par rapport à celles documentées au cours du mois de décembre 2023 . Pour ces violations documentées au mois de janvier 2024, les agents de l’État ont commis 26 violations, alors que les membres des groupes armés ont été responsables de trois atteintes. Enfin le BCNUDH a soutenu les efforts des autorités nationales pour améliorer le comportement des forces de défense et de sécurité. Au moins, 14 activités de sensibilisation et de renforcement des capacités ont été organisées au cours de l’année sur l’étendue du territoire national et au moins 454 hommes et 156 femmes ont participé à ces activités. Elles ont porté sur plusieurs sujets dont les notions générales sur les droits de l’homme, les droits de personnes arrêtées, le discours de haine, le monitoring des droits de l’homme, l’exercice des libertés publiques et les droits sociaux économiques et culturels, les violences sexuelles, la justice transitionnelle et la lutte contre l’impunité. Les performances de la République Démocratique du Congo en matière des droits de l’homme seront revues cette année 2024 par le Conseil des Droits de l’Homme. A travers le BCNUDH, la MONUSCO et l’ensemble des agences, fonds et programmes des Nations Unies en République démocratique du Congo vont accompagner le Gouvernement, la Commission Nationale des Droits de l’Homme et les organisations de la société civile durant le quatrième cycle de l’Examen Périodique Universel du Conseil des Droits de l’Homme et dans la mise en œuvre des cinq engagements de la République démocratique du Congo, pris en décembre 2023 par les autorités pour une plus grande protection des droits humains dans le pays. Pour plus d’informations et requêtes additionnelles, prière de contacter le BCNUDH à l’adresse suivante : BCNUDH, Quartier général de la MONUSCO 12, avenue des aviateurs, Kinshasa Gombe Email : Téléphone : +243 818 907 241

DR Congo: DRC's hunger crisis deepens as families once again flee fighting

22.03.2024 13:41 Country: Democratic Republic of the Congo Source: World Food Programme GOMA – The Democratic Republic of the Congo’s conflict-driven hunger crisis is worsening as violence in the eastern provinces surges, forcing families to flee again. While more and more people arrive in already overcrowded camps, the UN World Food Programme is struggling to feed those most in need, because humanitarian funding fails to keep pace. The conflict has displaced nearly one million people in the DRC since the start of the year, with most arriving in Goma; this has led to food shortages and pushed the price of food in Goma's markets out of reach for many. In response, WFP has vastly expanded its emergency operations in the East—tripling the number of people it is reaching with food assistance from an average of 400,000 people in May 2023 to an average of 1.3 million people today. However, the UN food agency does not have the funds to keep this emergency response going. On a recent visit to Goma, WFP’s Executive Director, Cindy McCain, witnessed firsthand the horrors unfolding for millions affected by the conflict. “The city of Goma is surrounded by tens of thousands of temporary shelters, and the numbers are growing every single day. The displaced people crammed into them urgently require food, clean water and sanitation. WFP needs the support of donors and partners to step up our response to this worsening crisis and provide badly needed assistance to people living in the camps before it’s too late,” said Executive Director McCain. Around a quarter of DRC’s population – 23.4 million people – are facing crisis levels of hunger or worse. Many live in poor and cramped conditions with little or no access to food, health services, and education. At the heart of a deepening hunger crisis lies a catastrophic situation for women and girls, particularly those living in IDP camps. Women and girls face a constant threat of sexual violence, particularly when they go searching for firewood to sell to buy food for their families. Putting food assistance in the hands of women and providing them with livelihood opportunities is key to curbing the horrifying rates of gender-based violence in DRC. WFP needs US$ 548.5 million to keep comprehensive operations running in the DRC. At minimum, WFP needs US$425 million for the next six months to support those most in need in the Eastern Democratic Republic of Congo, where violence has led to mass displacement. Note to Editor Broadcast quality footage available Photos # # # The United Nations World Food Programme is the world’s largest humanitarian organization saving lives in emergencies and using food assistance to build a pathway to peace, stability and prosperity for people recovering from conflict, disasters and the impact of climate change. Follow us on Twitter @wfp_media add your local Twitter handle, if relevant CONTACT For more information please contact : Shelley Thakral, shelley.thakral@wfp.org, Mob. + 916309927371

DR Congo: Protection in Danger Monthly News Brief - February 2024

22.03.2024 13:41 Countries: Bangladesh, Cameroon, Chad, Democratic Republic of the Congo, Ethiopia, Lebanon, Mali, occupied Palestinian territory, Somalia, Sudan, Syrian Arab Republic Source: Insecurity Insight Please refer to the attached file. Insecurity Insight identified at least 269 incidents that took place at or near IDP/refugee camps in seven countries and territories between 01-31 January 2024. Most took place in the occupied Palestinian territories where 169 were documented. Others were reported in Bangladesh, Cameroon, Malawi, Kenya, Somalia and Sudan. Data source: on . Safety, security and access incidents Incidents of threats and violence in refugee and IDP settings. AfricaChad16 February 2024: Near Farchana Refugee Camp, Ouaddai province, a nine- year-old boy was killed and two people injured after armed gunmen opened fire on a car. Source: Democratic Republic of the Congo12 February 2024: In Zaina IDP Camp, near Sake town, North Kivu province, three people were killed and eight injured in a bombing by suspected M23 rebels. Sources: and EthiopiaAround 05 February 2024: In Kumer Camp, Amhara region, four girls were raped by unidentified perpetrators. Source: Around 12 February 2024: In Kumer Camp, Amhara region, two girls were raped by unidentified perpetrators. Source: As reported on 20 February 2024: In Kumer Camp, Amhara region, two Sudanese refugees and an unspecified number of refugees were kidnapped by unidentified armed perpetrators. Source: As reported on 20 February 2024: In Kumer Camp, Amhara region, an ambulance belonging to the camp was stolen by unidentified perpetrators. As a result there is now way to treat critical cases in the camp, especially pregnant women. Source: Mali08 February 2024: In an unnamed IDP camp, Timtaghene commune, Tessalit cercle, Kidal region, four people were killed when a Malian air force drone strike hit the camp. Source: Somalia18 February 2024: In Jingadda IDP Camp, Garoowe city, Puntland state, a 13-year-old girl was raped by a group of armed men outside her home. She was later taken to hospital. Sources: and Sudan10 February 2024: In El Salam IDP Camp, El Fasher, North Darfur state, an unspecified number of IDPs fled the camp due to clashes between the SAF and the RSF. Source: 10 February 2024: In Abuja IDP Camp, El Fasher, North Darfur state, an unspecified number of people were killed and injured by missiles which fell on the camp during clashes between the SAF and the RSF. As a result an unspecified number of camp residents fled the camp. Source: 16 February 2024: In Abuja IDP Camp, El Fasher city, North Darfur state, SAF warplanes bombed the camp. Source: 16 February 2024: In Al Thawra IDP Camp, El Fasher city, North Darfur state, SAF warplanes bombed the camp. Source: 20 February 2024: In Neem IDP Camp, Ed Daein city, East Darfur state, a hospital and two water stations were damaged when the SAF dropped barrel bombs on the camp. Source: AsiaBangladesh05 February 2024: In Camp Nr. 4, F-12 Block, Kutupalong Camp, Ukhia upazila, Cox's Bazar district, Chittagong division, unidentified perpetrators seized a Rohingya youth, and took him to a hill, where they beat and shot at him. The victim was hospitalised but later died. Source: 17 February 2024: In Jamtoli Refugee Camp, Ukhia upazila, Cox's Bazar district, Chittagong division, a 38-year-old Rohingya man was beaten and stabbed to death by four/five unidentified perpetrators in front of his house. Source: 27 February 2024: In Nayapara Refugee Camp, Teknaf Upzalia, Cox's Bazar District, a Rohingya man was stabbed and killed by unidentified perpetrators. He died on the way to hospital. Source: Middle East and North AfricaLebanon19 February 2024: In Ain al-Hilweh Refugee Camp, near Sidon city, Israeli airstrikes hit the camp. Source: Occupied Palestinian Territories Insecurity Insight identified at least 558 incidents that took place at refugee camps in the occupied Palestinian territories between 07 October 2023 and 28 February. In the Gaza Strip, 259 of the reported 357 incidents documented Israeli forces using explosive weapons damaging refugee camps. In the West Bank and East Jerusalem where 201 incidents were recorded, refugee camps were raided by Israeli forces at least 100 times. Insecurity Insight calls for independent investigations and for all conflict parties to uphold international humanitarian law. Data source: on . Past incident reports: ; ; ; . Syrian Arab RepublicBetween 27 January - 06 February 2024: In Al-Hol Camp, Al-Hasakah governorate, an 11 day security operation was carried out inside the camp by Al-Asayesh security forces searching for ISIS cells inside the camp. During the operation, underground rooms were found underneath the section for migrant women, weapons and ammunition were also discovered inside the camp and suspected ISIS members were arrested. Sources: , and 08 February 2024: In Al-Rukban Camp, Rubkan area, a car was burnt in front of a Free Syria Army-supported bakery by unidentified perpetrators. Syrian regime forces were accused of the incident alleging that the incident attempted to spread chaos and sedition in the camp. Source:

Democratic Republic of the Congo: USG Humanitarian Response to the Complex Emergency

22.03.2024 05:11 Country: Democratic Republic of the Congo Source: US Agency for International Development Please refer to the attached Map.

Democratic Republic of the Congo - Complex Emergency Fact Sheet #5 Fiscal Year 2024

22.03.2024 05:11 Countries: Democratic Republic of the Congo, United States of America Source: US Agency for International Development Please refer to the attached file. SITUATION AT A GLANCE 113.6 MILLION Population of the DRCUN – December 2023 25.4 MILLION Population in Need of AssistanceUN – December 2023 1.7 MILLION Number of IDPs in North KivuIOM – February 2024 1.1 MILLION Congolese Refugees and Asylum-Seekers in Nearby CountriesUNHCR – January 2024 523,426 Refugees and Asylum-Seekers Sheltering in the DRCUNHCR – January 2024 FARDC and M23 clashes in eastern DRC displaced at least 250,000 people between mid-February and mid-March, with more than 200,000 of those displaced seeking refuge in and around Goma, exacerbating health, protection, and WASH needs. An ADF-attributed attack in Ituri Province on February 28 resulted in at least five civilian deaths and displaced an estimated 12,000 individuals toward Komanda town as of February 29, further stressing host communities’ access to limited resources. State/PRM partner UNHCR’s 2024–2025 Regional Refugee Response Plan appeals for $668.3 million in 2024 to assist asylum-seekers and refugees from the DRC and host communities across the region.

DR Congo: New INSO report on aid worker abductions in 2023

21.03.2024 21:02 Countries: Afghanistan, Burkina Faso, Cameroon, Central African Republic, Democratic Republic of the Congo, Haiti, Iraq, Mali, Niger, Nigeria, Somalia, Syrian Arab Republic Source: International NGO Safety Organisation In 2023 INSO recorded 60 abduction incidents affecting 146 NGO staff across 15 countries. To reach people in need, NGOs must oftentimes work in dangerous environments. We cannot stop the violence, but we can support NGOs to stay and deliver aid safely. One of the ways we do this is by collecting and analysing the risks impacting NGOs and then providing real-time advice to NGOs in the field through our operational alerts, roundtable meetings, and emergency coordination. The highest serious incident category affecting NGO workers is abductions. We work to mitigate this through real-time communication of heightened abduction risks, free training for NGO Staff, which includes HEIST, Travel Safety, and Personal Safety courses, and evidence-driven analysis to help inform NGO security policies. Aid Worker Abduction Report Our 2023 NGO Abductions Snapshot report analyses INSO data from across 16 high-risk countries where INSO has a field presence, providing an overview of abductions based on region, perpetrating actor, and motivation, alongside recommendations and contexts to watch for 2024. You can read the full report In 2023 INSO recorded 60 abduction incidents affecting 146 NGO staff across 15 countries. This is a decrease from the 191 NGO staff abducted in 2022. Of all abduction incidents, 45% were related to national NGOs, and 17% were directly related to NGO programming, with an equal percentage within that affecting national and international NGOs. In previous years, the Sahel region has seen a steady increase in abduction numbers, especially following a dramatic rise in 2021 and 2022. Although the Sahel region experienced a high number of incidents, the frequency of abductions decreased in 2023, including in Mali and Burkina Faso. This trend seems to correlate more with the reduction in humanitarian operations in the area rather than an improvement in the overall situation. Central Africa Central Africa, particularly the Democratic Republic of Congo , remains a hotspot, accounting for nearly 31% of all reported abduction incidents. Whilst material gain by Organised Armed Groups and criminal actors is the primary motivation for many abductions in the DRC, there are cases of NGO workers being abducted as reprisals against programming objectives. For example, an NGO staff member was abducted and later killed over their involvement in a human rights assessment and reporting work in August 2023. Whilst OAGs rarely deliberately target NGO staff because of ideological opposition, there are exceptions to this, notably with Islamic State West Africa Province and Jama’atu Ahlis Sunna Lidda’adati wal-Jihad in northeast Nigeria and the Lake Chad region. There have also been increasing incidents of OAGs in Cameroon engaging in short-term abductions of NGO staff to exert influence, punish perceived opposition, and enforce anti-government lockdown orders. When looking at the actor breakdown of NGO worker abductions, OAGs were responsible for 59% of all abduction cases. Despite being the predominant actor, the number of abductions by OAGs declined in 2023, across all INSO contexts, except for in Cameroon and the DRC. Organised Criminal Groups When looking at Organised Criminal Groups , they only pose a direct threat to NGO Safety and Access in one context: Haiti. “There has been a notable increase in abduction incidents by OCGs throughout 2023, and although there’s limited evidence to suggest that aid workers are deliberately targeted due to their work, the persistent and often indiscriminate nature of OCG-perpetrated kidnappings result in high collateral impact,” says INSO’s Analysis and Research team. Towards 2024 In terms of what contexts to keep an eye on throughout 2024, we highlight five countries in the Sahel and Central Africa regions, including Mali, Haiti, the DRC, Cameroon, and Burkina Faso, where we perceive the threat to be the highest. NGOs should incorporate incident monitoring and analysis into their security plans and establish clear no-go zones for staff where there is a higher risk. INSOs Conflict & Humanitarian Data Centre , our standardised incident database, is freely available to all INSO partners and can be used as a strong foundation to inform NGOs’ security risk management plans. All data in this report can be found by partners through the CHDC, and all INSO global reports can be read INSO is grateful for the support of its donors: The European Commission , USAID’s Bureau for Humanitarian Assistance, the Swiss Agency for Development and Cooperation, the United Kingdom’s Foreign, Commonwealth & Development Office, the German Ministry of Foreign Affairs, the Ministry of Foreign Affairs of the Netherlands, Global Affairs Canada, Royal Ministry of Foreign Affairs of Norway, United Nations’ Office for the Coordination of Humanitarian Affairs , Le Gouvernement du Grand-Duché du Luxembourg, and the Swedish International Development Agency .

Democratic Republic of the Congo - Risques associés à la collecte de bois de chauffage pour les pers

21.03.2024 21:02 Country: Democratic Republic of the Congo Source: World Food Programme Please refer to the attached file. Goma, République Démocratique du Congo | Mars 2024 CONTEXTE Depuis la fin de 2023, une recrudescence des combats entre les rebelles du M23 et les forces armées congolaises a entraîné une augmentation des victimes, des violences, des viols et des déplacements de la population en quête de sécurité et d’abri à Goma, ainsi que le retrait de nombreux humanitaires. Le PAM et ses partenaires continuent à fournir un soutien alimentaire aux plus vulnérables dans les zones touchées à travers une assistance en nature et des transferts monétaires pour l’achat de biens essentiels, tels qu’huile, mais et haricots. Cependant, le schéma actuel de transfert ne comprend pas de combustible de cuisson, ce que les ménages doivent donc se procurer, dans les forêts proches ou éloignées des camps de déplacement étant l’option plus économique à court terme. La collecte de bois dans les zones éloignées des camps est essentiellement attribuable à l’érosion des moyens d’existence qui rend difficile même l'achat de combustible. Cependant cette collecte a des répercussions négatives non seulement sur l'environnement, mais elle expose les femmes et les filles, typiquement chargées de cette tâche, à des risques de violence sexuelle, qui sont devenus de plus en plus élevés dans les sites surpeuplés et à proximité des camps. Alors que les forêts près des camps s'appauvrissent, trouver du bois nécessite de parcourir de plus longues distances, augmentant ainsi les risques de violence basée sur le genre . Le bureau du PAM de Goma a réalisé une enquête afin de comprendre les implications de la collecte du bois pour la cuisine sur les risques auxquels les femmes et les filles font face. Cette étude a été menée dans les camps de Goma, Karisimbi, Nyiragongo, Kiroshe, Mabalako, Oïcha et Beni entre novembre 2023 et février 2024 à travers des entretiens individuels avec 836 bénéficiaires.

Democratic Republic of the Congo - Severe weather

21.03.2024 21:02 Country: Democratic Republic of the Congo Source: European Commission's Directorate-General for European Civil Protection and Humanitarian Aid Operations Heavy rainfall, strong winds and thunderstorms have been affecting the central Democratic Republic of the Congo, in particular the Maniema Province, since 16 March, causing floods, landslides and a number of severe weather-related incidents that have resulted in casualties and damage. Maniema is also experiencing record temperatures, with an average of 40°C recorded this week in Kindu, the province’s administrative centre. Media report, as of 21 March, two fatalities, 27 injured people and approximately 100 damaged houses across the Pangi Territory , where the worst affected are the villages of Binumbi and Chabangwa. Over the next 48 hours, more heavy rainfall is still forecast over most of the Maniema Province.

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