Democratic Republic of the Congo - DRC At A Glance - Situation as of 29 February 2024

19.03.2024 17:20 Countries: Angola, Burundi, Central African Republic, Democratic Republic of the Congo, Malawi, Mozambique, Rwanda, South Sudan, Uganda, Zambia Source: UN High Commissioner for Refugees Please refer to the attached Map. Highlights The DRC is the second country with the largest internally displaced persons in Africa The DRC hosts over 0.5 millions refugees and asylum seekers. Lack of a proper civil registration system puts many at risk of statelessness in the DRC. UNHCR joins the United Nations Legal Identity Program to help the DRC government put in place a strong registration system that is inclusive for all types of populations, ensuring that no one is left behind.

DR Congo: West and Central Africa: 2023 Regional Funding Status - General Overview

19.03.2024 17:20 Countries: Burkina Faso, Cameroon, Central African Republic, Chad, Democratic Republic of the Congo, Mali, Niger, Nigeria Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs Please refer to the attached Infographic.

DR Congo: West and Central Africa: 2024 Regional Funding Status - General Overview

19.03.2024 17:20 Countries: Burkina Faso, Cameroon, Central African Republic, Chad, Democratic Republic of the Congo, Mali, Niger, Nigeria Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs Please refer to the attached Infographic.

DR Congo: Le Secrétaire général condamne l’incident qui a fait huit blessés parmi les Casques bleus

19.03.2024 00:30 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Secretary-General SG/SM/22162 16 mars 2024 La déclaration suivante a été communiquée, aujourd’hui, par le Porte-parole de M. António Guterres, Secrétaire général de l’ONU: Le Secrétaire général condamne l’incident d’aujourd’hui ayant blessé huit Casques bleus de la Mission de stabilisation des Nations Unies en République démocratique du Congo lors d’affrontements entre le Mouvement du 23 mars et les Forces armées de la République démocratique du Congo dans la région de Sake, à 20 kilomètres de Goma, la capitale provinciale du Nord-Kivu. Les casques bleus blessés étaient déployés dans le cadre de l’Opération Springbok, lancée en novembre pour protéger les civils dans la région. Le Secrétaire général rappelle que les attaques visant les Casques bleus des Nations Unies peuvent constituer des crimes de guerre en vertu du droit international. Il souhaite un prompt rétablissement aux Casques bleus blessés lors de l’attaque d’aujourd’hui. Le Secrétaire général réitère son appel à tous les groupes armés congolais et étrangers de déposer les armes immédiatement et d’entreprendre sans délai le processus de désarmement. Il demande également au M23 de se retirer complètement de toutes les zones occupées et de respecter les décisions énoncées dans le communiqué de Luanda daté du 23 novembre 2022. La souveraineté et l’intégrité territoriale de la République démocratique du Congo doivent être pleinement respectées.  Le Secrétaire général réaffirme la détermination de la MONUSCO à mettre en œuvre son mandat de protection des civils. À l’intention des organes d’information. Document non officiel.

DR Congo: Secretary-General Condemns Attack on Peacekeepers in Democratic Republic of Congo

19.03.2024 00:30 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Secretary-General SG/SM/22162 16 March 2024 The following statement was issued today by the Spokesman for UN Secretary-General António Guterres: The Secretary-General condemns the incident earlier today, in which eight peacekeepers of the United Nations Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of the Congo were wounded during fighting between the Mouvement du 23 Mars and the Armed Forces of the Democratic Republic of Congo in the area of Sake, 20 kilometres from Goma, the provincial capital of North Kivu. The wounded peacekeepers were deployed as part of Operation Springbok, launched in November to protect civilians in the area. The Secretary-General recalls that attacks against United Nations peacekeepers may constitute a war crime under international law. He wishes a speedy recovery to those peacekeepers injured in today’s attack. The Secretary-General reiterates his call on all Congolese and foreign armed groups to lay down their arms immediately and engage, without delay, in the disarmament process. He also urges the M23 to withdraw fully from all occupied areas and abide by the provisions of the Luanda communiqué of 23 November 2022. The sovereignty and territorial integrity of the Democratic Republic of the Congo must be fully respected. The Secretary-General reaffirms MONUSCO’s determination to implement its protection of civilians mandate. For information media. Not an official record.

DR Congo: Compte rendu Réunion mensuelle - Coordination nationale Cluster Nutrition, République démo

19.03.2024 00:30 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: Nutrition Cluster, UN Children's Fund Please refer to the attached file. AGENDA Suivi des points d’action de la dernière réunion MàJ sur les crises en cours Aperçu des enquêtes nutritionnelles planifiées en 2024 Tour de tables de partenaires : mise à jour sur les activités en 2024 Divers

DR Congo: Compte rendu Réunion mensuelle - Coordination nationale Cluster Nutrition, République démo

19.03.2024 00:30 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: Nutrition Cluster, UN Children's Fund Please refer to the attached file. AGENDA Suivi des points d’action de la dernière réunion MàJ sur les crises en cours Présence opérationnelle : novembre-décembre 2023 Résumé réponse nutrition 2023 Planification 2024 et zones priorisées Évaluations nutritionnelles planifiées 2024 Tour de tables de partenaires : mise à jour sur les nouvelles activités Divers

DR Congo: Équipe d’Analyse des Crises - RD Congo : Rapport mensuel de déplacement, février 2024

18.03.2024 16:00 Country: Democratic Republic of the Congo Source: Mercy Corps Please refer to the attached file. I. Approche méthodologique Collecte des données Les chercheurs et analystes de l’Équipe d’Analyse de Crises en République Démocratique du Congo font la collecte, la triangulation et l’analyse des informations recueillies auprès des sources primaires et secondaires. Chaque semaine, les chercheurs mènent des entretiens avec des informateurs clés pour mieux comprendre les événements qui contribuent à la crise humanitaire dans l’est de la RDC . Ils analysent leurs impacts potentiels sur les opérations humanitaires Ces entretiens ont lieu avec des responsables administratifs locaux, des représentants coutumiers, le personnel de santé, des représentants de l’armée et des groupes armés, ainsi que les organisations humanitaires actives dans l’Ituri, Nord-Kivu, Sud-Kivu, Tanganyika et Maniema. Le CAT-RDC utilise également plusieurs sources secondaires mises à disposition par les partenaires humanitaires et la communauté. Toute information subit un processus de triangulation avant l’analyse et la dissémination. Toutefois, les informations présentées dans ce rapport sont susceptibles de changer au moment de leur publication du fait de l’évolution rapide des situations dans la région. Si vous avez des commentaires ou des informations auxquelles vous souhaitez que le CAT-RDC donne suite, veuillez remplir ce formulaire ici. Analyse des données et subdivision du rapport Les analyses présentées portent sur deux aspects principaux : déplacements des populations et le statut de couverture des besoins humanitaires; et accès humanitaire dans les zones accueillant le plus de déplacés à l’est de la RDC. Déplacements des populations et besoins humanitaires L’analyse des déplacements constitue le premier aspect abordé dans ce rapport. Cette analyse vise d’une part à documenter et à comprendre les nouveaux mouvements des populations, c’est-à-dire ceux qui se sont produits au cours du mois concerné par ce rapport, et d’autre part à évaluer et à cartographier les zones qui ont accueilli le plus de vagues des déplacés non assistés au cours de quatre derniers mois incluant le mois concerné par ce rapport. Ces zones sont désignées, dans la suite, comme hotspots de déplacements. Les hotspots de déplacements comme les nouveaux déplacements sont analysés à l’échelle des territoires dans les cinq provinces étudiées à l’est de la RDC et sont présentés sur la carte 1. Sur cette carte, les territoires sont catégorisés en intervalles de classes qui correspondent au nombre de ménages accueillis dans le territoire et n’ayant pas encore obtenu une quelconque assistance humanitaire. Le nombre de ménages utilisé pour catégoriser les territoires correspond à la somme de tous les déplacements majeurs, c’est-à-dire de plus de 300 ménages, rapportés dans chacun des territoires entre novembre 2023 et février 2024.

Crisis Analysis Team - DR Congo: Monthly Displacement Report, February 2024

18.03.2024 16:00 Country: Democratic Republic of the Congo Source: Mercy Corps Please refer to the attached file. I. Methodology Data collection Researchers and analysts from the Crisis Analysis Team in the Democratic Republic of Congo collect, triangulate and analyze information gathered from primary and secondary sources. Each week, researchers conduct interviews with key informants to better understand the events contributing to the humanitarian crisis in eastern DRC . They analyze their potential impact on humanitarian operations. These interviews take place with local administrative officials, customary representatives, health personnel, representatives of the army and armed groups, as well as humanitarian organizations active in Ituri, North Kivu, South Kivu, Tanganyika and Maniema. CAT-DRC also uses a number of secondary sources made available by humanitarian partners and the community. All information undergoes a triangulation process before analysis and dissemination. However, the information presented in this report is subject to change at the time of publication due to rapidly evolving situations in the region. If you have any comments or information you would like the CAT-DRC to follow up, please use the linked form: contact form. Data analysis and report structure The analyses presented focus on two main aspects: Populations displacements and the response status of humanitarian needs; and humanitarian access in the areas hosting the most displaced people in eastern DRC. Population displacement and humanitarian needs Analysis of displacement is the first section of this report. This section aims to document and understand new population movements which occurred during the month covered by this report, and assess and map humanitarian needs from unassisted displacement that took place in the past four months, including the month under review. Areas with high unassisted displacement are referred to as displacement hotspots. Both displacement hotspots and new displacements are analyzed at the territory level in the five provinces studied in eastern DRC, and are presented on Map 1. On this map, territories are categorized into class intervals that correspond to the number of households hosted in the territory which have not yet received humanitarian assistance. The number of households used to categorize territories corresponds to the sum of all major displacements, i.e. over 300 households, reported in each territory November 2023 and February 2024. Displacements of over 300 households in February 2024 are also illustrated on Map 1, by marking the position of the localities hosting the displaced people. These new displacements are then described in more detail, on a case-by-case basis, with maps showing population movements of departure and reception areas for each of the territories concerned.

DR Congo: Note de Plaidoyer sur la situation des enfants finalistes déplacés en raison des crises hu

18.03.2024 16:00 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: Education Cluster, Save the Children, UN Children's Fund Please refer to the attached file. À l’attention du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique , au Cabinet du Gouverneur Province Nord-Kivu, à OCHA, aux partenaires humanitaires et aux bailleurs de fonds 1. Contexte et justification Le présent document est élaboré par le Cluster Education Nord-Kivu à titre de plaidoyer auprès de Son Excellence Monsieur le Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique et au Cabinet du Gouverneur de la Province Nord-Kivu. Ce plaidoyer vise à solliciter l’appui du Gouvernement de la République Démocratique du Congo pour faciliter la participation aux examens finaux de tous les enfants déplacés de la province. En raison de la persistance et de l'aggravation des crises dans la province du Nord-Kivu, de très nombreux enfants en âge scolaire sont actuellement en déplacement. Les enfants finalistes du 8ième année et du 4ième année secondaire doivent passer leurs examens finaux pour l’année scolaire ’23-‘24, et doivent payer des frais d’inscription pour cela. Parce que leurs parents ont fui et ont dû tout laisser derrière eux, ces enfants n'ont actuellement pas les moyens nécessaires pour supporter ces frais, et risquent de perdre leur année, voire tout leur avenir. Cette situation est très problématique et urgente, c'est pourquoi le Cluster Education Nord-Kivu demande d’abord au MINEPST et au Cabinet du Gouverneur Nord-Kivu de donner à ces enfants le soutien qu'ils méritent, et ensuite l'aide des partenaires humanitaires pour sauver l'avenir de ces enfants. Incapables d'aller à l'école, les adolescents de l'est de la RDC sont exposés à des risques accrus de protection tels que le recrutement par des groupes armés, le travail des enfants, la violence basée sur le genre, les grossesses précoces et les maladies évitables. L'indice de capital humain de la RDC, qui est de 0,37, signifie qu'un enfant congolais né aujourd'hui ne peut espérer réaliser que 37 % de son potentiel, par rapport à ce qu'il aurait pu faire s'il avait bénéficié d'une éducation et de soins de santé de qualité. Si ces adolescents vulnérables ne parviennent pas à obtenir un diplôme pour des raisons indépendantes de leur volonté, les problèmes de demain sont créés aujourd'hui. Grâce à l'éducation, les enfants apprennent, entre autres, l'importance du processus démocratique, reçoivent les outils nécessaires pour résoudre pacifiquement les conflits intercommunautaires, et les filles et les garçons sont préparés à une vie dans laquelle ils peuvent poursuivre de manière indépendante un parcours professionnel constructif.

DR Congo: DRC: Reinstating executions shows a callous disregard for human rights

18.03.2024 06:51 Country: Democratic Republic of the Congo Source: Amnesty International Responding to the news that the Democratic Republic of Congo’s government wants to resume executions, after a hiatus of two decades, in a bid to combat armed groups and gang violence, Tigere Chagutah, Amnesty International’s Regional Director for East and Southern Africa, said: “The government’s decision to reinstate executions is a gross injustice for people sentenced to death in the Democratic Republic of Congo and shows a callous disregard for the right to life. It is a huge step backwards for the country and a further sign that the Tshisekedi administration is backtracking on its commitment to respect human rights. “Whether those who have been sentenced to death are in the national army or police, in armed groups or have been involved in gang violence, everyone has a right to life and for that right to be protected. This heartless decision will endanger the lives of hundreds of people who have been sentenced to death, including those who were put on death row following unfair trials and politically motivated charges. “With an inefficient and ineffective justice system, which President Tshisekedi has himself described as ‘sick’, the government’s appalling move means many innocent people are now at risk of execution. This is even more alarming given the ongoing crackdown on political opponents, human rights activists and journalists. “The death penalty is the ultimate cruel, inhuman and degrading punishment. The government of the DRC must immediately halt any plans to resume executions and establish an official moratorium on executions with a view to abolishing the death penalty.” Amnesty International opposes the death penalty in all cases without exception – regardless of who is accused, the nature or circumstances of the crime, guilt or innocence or method of execution. BACKGROUND The last known executions in DRC took place in 2003. On 13 March 2024, the DRC’s Minister of Justice formally notified the judicial authorities of the government’s decision to resume executions for a series of crimes. The government justified its decision by the need to combat “treason” within the army at a time when the DRC is facing an escalation of armed conflicts, notably with the resurgence of the armed group Mouvement du 23 Mars supported by Rwanda, and the need to put an end to deadly gang violence in several cities, including the capital Kinshasa. The Congolese justice system is plagued by numerous problems, and trials rarely meet fair trial standards as documented by Amnesty International and other organizations. President Tshisekedi himself has on several occasions complained publicly about the malfunctioning of the justice system in the DRC, including by describing it as “sick” earlier this year.

DR Congo: MONUSCO condemns the attack that wounded 8 peacekeepers in Saké

17.03.2024 05:40 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of the Congo Please refer to the attached file. Kinshasa, March 16, 2024: The Special Representative of the Secretary-General of the United Nations in the Democratic Republic of the Congo and Head of the United Nations Organization Stabilization Mission in the DRC , Ms. Bintou Keita, condemns in the strongest possible terms the attack on peacekeepers that took place on March 16 in Saké. Eight peacekeepers were wounded, one of them seriously. They have been evacuated and are receiving appropriate care. For several weeks, these peacekeepers have been deployed as part of Operation Springbok in North Kivu. MONUSCO and the Armed Forces of the Democratic Republic of the Congo are carrying out joint military actions. MONUSCO wishes a speedy recovery to the injured peacekeepers and stands ready to support any investigation to determine responsibility before national or international jurisdictions. Ms. Bintou Keita reaffirmed MONUSCO's commitment to working alongside the Congolese defence and security forces to reinforce joint and unilateral patrols to protect civilians. The Head of MONUSCO also reiterates her call for an immediate end to violence by all armed groups against civilians. In particular, she calls on the M23 armed group to lay down its arms and respect the terms of the Luanda Roadmap. Contacts : Ndeye Khady Lo, Porte-parole, ndeye.lo@un.org, portable : +243 997068227 Lieutenant-Colonel Kokouvi Mensah Kedagni, Porte-parole militaire, monusco-hq-mpiochief@un.org, tél. +243 81 890 31 78, portable : +243 81 89071 60 Adèle Lukoki, Relations médias, lukokiikola@un.org, portable : +243 81 890 77 06

DR Congo: La MONUSCO condamne l’attaque ayant blessé 8 casques bleus à Saké

17.03.2024 05:40 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of the Congo Please refer to the attached file. Kinshasa le 16 mars 2024 : La Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies en République démocratique du Congo et Cheffe de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la Stabilisation en RDC , Mme Bintou Keita, condamne, avec la plus grande fermeté, l’attaque contre des Casques bleus survenue ce 16 mars à Saké. Huit casques bleus ont été blessés dont un grièvement. Ils ont été évacués et reçoivent les soins appropriés. Depuis plusieurs semaines, ces casques bleus ont été déployés dans le cadre de l’opération Springbok au Nord-Kivu. La MONUSCO et les Forces armées de la République démocratique du Congo y mènent des actions conjointes. La MONUSCO souhaite un prompt rétablissement aux Casques bleus blessés et est disposée à soutenir toute enquête destinée à déterminer les responsabilités devant les juridictions nationales ou internationales. Mme Bintou Keita réaffirme l’engagement de la MONUSCO aux côtés des forces de défense et de sécurité congolaises pour renforcer les patrouilles conjointes et unilatérales afin de protéger les populations civiles. La Cheffe de la MONUSCO réitère également son appel à une cessation immédiate des violences de tous les groupes armés contre les civils. Elle invite particulièrement le groupe armé M23 à déposer les armes et à respecter les termes de la Feuille de route de Luanda. Contacts : Ndeye Khady Lo, Porte-parole, ndeye.lo@un.org, portable : +243 997068227 Lieutenant-Colonel Kokouvi Mensah Kedagni, Porte-parole militaire, monusco-hq-mpiochief@un.org, tél. +243 81 890 31 78, portable : +243 81 89071 60 Adèle Lukoki, Relations médias, lukokiikola@un.org, portable : +243 81 890 77 06

DR Congo: RD Congo: Situation humanitaire dans la province du Nord-Kivu

16.03.2024 21:10 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs Please refer to the attached file. Ce rapport est produit par OCHA RDC en collaboration avec les partenaires humanitaires. Il couvre la période du 13 février au 5 mars 2024. FAITS MAJEURS Plus de 230 000 personnes déplacées vers la ville de Goma depuis début février Plus de 652 000 personnes ont reçu une assistance en vivres au Nord-Kivu en février APERÇU DE LA SITUATION Territoire de Masisi Les affrontements entre l'armée congolaise et un groupe armé non étatique se sont poursuivis dans le territoire de Masisi au cours des deux dernières semaines de février, notamment dans le groupement de Kamuronza, situé dans la zone de santé de Kirotshe, ainsi que dans le groupement de Bashali-Mokoto, situé dans la zone de santé de Mweso. Ces violences ont entraîné d'importants déplacements de population, avec plus de 230 755 personnes ayant fui les combats dans les zones de santé de Kirotshe, Katoyi vers la ville de Goma, selon des sources humanitaires. Face à cet afflux massif de déplacés, les autorités ont attribué environ 190 hectares d’espace supplémentaire aux alentours de Goma pour leur installation dans des conditions plus sûres. Par ailleurs, les mêmes combats ont provoqué d'importants mouvements de popu lation vers Minova dans le territoire de Kalehe au Sud-Kivu , exacerbant la crise humanitaire dans la région. Les violences ont également perturbé l'accès aux services essentiels, notamment les soins de santé. Quatre structures médicales, dont l'Hôpital Général de Référence de Kirotshe, ont été pillées, privant plus de 480 000 personnes d’accès aux services de santé, alors que la zone est en pleine épidémie de choléra. Les conditions d'hygiène précaires dans les sites de déplacés favorisent la propagation des épidémies. Entre le 4 et le 17 février, au moins 56 cas de choléra ont été signalés dans le site de déplacés de Nzulo, situé dans la zone de santé de Kirotshe. Ce site héberge au moins 55 000 personnes et les conditions d’hygiène y sont très précaires. De plus, la ville de Goma est confrontée à une épidémie de choléra depuis janvier 2024. Goma abrite désormais plus de 630 000 personnes déplacées. La précarité de la vie dans les sites de déplacés autour de Goma constitue un risque supplémentaire de propagation rapide des maladies infectieuses. Entre le 19 février et le 3 mars, la ville de Goma a notifié 569 cas de choléra, soit plus de 41% des 1 377 cas enregistrés pour tout le Nord-Kivu au cours de cette période. La stratégie de riposte anti-choléra mise en place par les autorités sanitaires inclut la prise en charge gratuite des malades, la désinfection des foyers et la vaccination anti-choléra dans les zones de santé les plus touchées. Territoire de Nyiragongo et ville de Goma La situation sécuritaire dans la ville de Goma et le territoire de Nyiragongo reste marquée par une forte présence militaire. Cette militarisation, ainsi que la présence d’acteurs armés non étatiques dans et autour des sites de Lushagala, Bulengo et Nzulo, à proximité de la ville de Goma, ont entraîné une recrudescence d’incidents de violence armée et de criminalité, mettant ainsi en danger la sécurité des civils, y compris celle des personnes déplacées. Le 18 février 2024, au moins deux civils ont été tués et plusieurs autres blessés lors d'affrontements aux abords du site de déplacés de Lushagala, dans la ville de Goma. La présence de groupes armés dans ces sites viole le caractère civil et humanitaire de ces zones. Le mercredi 21 février 2024, le Gouverneur de la province du Nord-Kivu a conduit une mission conjointe, autorités congolaises et acteurs humanitaires, pour évaluer la situation sécuritaire dans les trois sites de déplacés de Lushagala, Bulengo et Nzulo. Des sources proches des comités de déplacés renseignent que des acteurs armés rançonneraient de la nourriture auprès des personnes déplacées dans les sites. D’autres venant rendre visite à leurs familles entrent dans les sites en possession de leurs armes. Plusieurs incidents liés à ces armes ont été rapportés dans les sites de déplacés. Bien que les activités humanitaires et le personnel humanitaire ne soient pas encore directement ciblés par cette situation, la tendance sécuritaire actuelle nécessite des mesures de vigilance afin de garantir un niveau minimal de sécurité des acteurs humanitaires lors des déploiements opérationnels dans les sites. Des discussions en cours avec les autorités nationales permettront de renforcer les effectifs de la police nationale chargés de la sécurité des sites de déplacés. Une sensibilisation continue des acteurs armés pour une meilleure compréhension du caractère civil des sites de déplacés est aussi en cours.

DR Congo: Évaluation Rapide de Crise M23 – Rapport #16, Province du Nord Kivu, 15 mars 2024

16.03.2024 03:40 Country: Democratic Republic of the Congo Source: International Organization for Migration Please refer to the attached file. La DTM a identifié une population mobile de 1 689 260 individus au 13 mars 2024 et une population retournée estimée à 523 383 individus CONTEXTE Dans la région orientale de la République démocratique du Congo , en particulier dans le Nord-Kivu, un conflit prolongé et de plus en plus complexe persiste, caractérisé par la présence de nombreux groupes armés tels que le groupe M23 et les Forces armées congolaises et leurs alliés respectifs. Cette situation a conduit à une instabilité généralisée et à une crise humanitaire sans précédent dans la province du Nord-Kivu. Les hostilités en cours ont entraîné des déplacements importants de la population locale, dont beaucoup ont été contraints de fuir leur domicile, ce qui a encore aggravé une situation déjà désastreuse. Le conflit a créé un besoin urgent d'aide humanitaire à grande échelle, mais la réponse reste inadéquate pour répondre aux immenses besoins en raison du manque de ressources et des difficultés d'acheminement de l'aide dues à l'instabilité et aux conditions dangereuses sur le terrain. Depuis janvier 2024, le groupe M23, soutenu par le groupe Alliance Fleuve Congo , a lancé des offensives intensifiées contre les positions des FARDC et de leurs alliés, entraînant l'expansion de la zone d'influence du groupe M23 par la capture de villes et de villages importants dans les territoires de Rutshuru et de Masisi. Cette escalade a provoqué une prolifération d'acteurs armés, rapprochant les positions militaires des FARDC des sites de déplacement près de Goma, exacerbant, en plus des besoins humanitaires, des pertes en vies humaines, des blessures, des activités criminelles croissantes et un déplacement massif de populations vulnérables. Les territoires de Rutshuru et de Masisi subissent actuellement les conséquences les plus graves de ce conflit. Au début du mois de mars 2024, une recrudescence des hostilités s'est produite dans le territoire de Rutshuru impliquant les groupes Mutanda et Kihondo dans les villages de Nyanzale, Kirima, Kikuku et Kibirizi, conduisant à l'occupation de plusieurs villages dont Kibirizi, Nyanzale, Kirima, Kikuku, Kihondo, Mutanda, Somikivu, Bwalanda/Mine, Kashalira, Kibingu, Kabanda, et Vitshumbi par le groupe M23. Simultanément, du 7 au 9 mars, des affrontements ont éclaté dans le territoire de Masisi englobant le groupement Bashali Mokoto, le village de Kashuga, Kalembe et les zones adjacentes, ce qui a conduit à un renforcement de contrôle dans les territoires entourant Goma et à un isolement accru de la ville considérée comme la capitale du Nord-Kivu. Depuis le début de la crise, l'OIM, par le biais de la matrice de suivi des déplacements continue à mener une série d'évaluations rapides, y compris le suivi des urgences , l'analyse des crises et enregistrement avec priorité de répondre aux besoins immédiats d'information en vue de comprendre la dynamique des déplacements et les besoins. Ce rapport présente les résultats des évaluations menées dans les différentes zones de déplacement et de retour du 1 au 13 mars 2024.

Reklama

Srdcetvor.cz - handmade

srdcetvor-handmade.png Nákupní galerie rukodělných výrobků, služeb a materiálů. Můžete si zde otevřít svůj obchod a začít prodávat nebo jen nakupovat.

Lavivasex.cz - erotické pomůcky

lavivasex.png Přehled erotických pomůcek od elegantních vibrátorů, hraček pro páry až po stimulační oleje, afrodiziaka a BDSM pomůcky.

Hledej-hosting.cz - webhosting, VPS hosting

hledej-hosting.png Přehled webhostingových, multihosting a VPS hosting programů s možností jejich pokročilého vyhledávání a porovnávání. Najděte si jednoduše vhodný hosting.