DR Congo: République démocratique du Congo - Province d'Equateur: Carte de susceptibilité d'inonda

08.02.2024 20:03 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: REACH Initiative, UN Children's Fund Please refer to the attached Map.

DR Congo: UNICEF DRC Humanitarian Situation Report No. 1 : December 2023-January 2024

08.02.2024 20:03 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Children's Fund Please refer to the attached file. Highlights The Democratic Republic of Congo is grappling with one of its worst floods in over 60 years, impacting 18 provinces. This disaster raises serious concerns, particularly in areas already battling cholera outbreaks. Experts fear a surge in cholera cases and potential spread along the Congo River, mirroring the devastating outbreaks of 2011 and 2017. The impact is significant, with authorities reporting over 2 million affected individuals and more than 300 deaths. In terms of infrastructure, nearly 100,000 homes, 267 health facilities, and 1,325 schools have been destroyed. In support to the government plan, UNICEF and its partners have started a WASH, Health and Child Protection response mobilizing close to $700,000 of its core funding. UNICEF initial emergency response plans in WASH, Health and Child Protection amounts to $9 million.

DR Congo: Etude préliminaire pour la mise en place d’actions anticipatoires sur les inondations, oct

08.02.2024 20:03 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: REACH Initiative, UN Children's Fund Please refer to the attached file. CONTEXTE OBJECTIFS La République démocratique du Congo est régulièrement confrontée à des épisodes d’inondations, à la fois pluviales et fluviales. En raison de vulnérabilités sous-jacentes liées à une pauvreté chronique , ces inondations peuvent provoquer d’importants dégâts humains et matériels, comme l’ont montré les épisodes récents survenus à Kinshasa en décembre 2022 et Kalehe en mai 2023. Dans ce contexte, une préparation adéquate face à ces aléas souvent cycliques apparaît essentielle – y compris en-dehors des métropoles et des chefs-lieux des provinces, souvent davantage priorisés et dotés en ressources. Face à ce constat, UNICEF a initié et financé une étude pilote visant à évaluer les risques d’inondations dans 4 localités situées dans des provinces particulièrement exposées aux risques de crues en raison de leur géomorphologie et des conditions climatiques : Nord-Ubangi, Sud-Ubangi, Equateur et Tshopo. MESSAGES CLÉS • La communauté rapporte un manque d’accès à l’information concernant les risques liés aux inondations : 75% des ménages interrogés ne se sentaient pas bien informés sur les risques liés aux inondations et 92% n’avaient jamais bénéficié de sensibilisation sur le sujet . • Les infrastructures EHA, fragilisées par les inondations passées, semblaient largement insuffisantes pour couvrir l’ensemble des besoins de la population des 4 quartiers évalués à Yakoma . • La saison des pluies coïncidant avec les périodes de récolte, préparation des terres et semis, la production agricole à Yakoma est significativement affectée par les inondations, qui viennent aggraver des difficultés existantes d’accès à la nourriture .

DR Congo: Etude préliminaire pour la mise en place d’actions anticipatoires sur les inondations, oct

08.02.2024 20:03 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: REACH Initiative, UN Children's Fund Please refer to the attached file. CONTEXTE OBJECTIFS La République Démocratique du Congo est régulièrement confrontée à des épisodes d’inondations, à la fois pluviales et fluviales. En raison de vulnérabilités sous-jacentes liées à une pauvreté chronique , ces inondations peuvent provoquer d’importants dégâts humains et matériels, comme l’ont montré les épisodes récents survenus à Kinshasa en décembre 2022 et Kalehe en mai 2023. Dans ce contexte, une préparation adéquate face à ces aléas souvent cycliques apparaît essentielle – y compris endehors des métropoles et des chefs-lieux des provinces, souvent davantage priorisés et dotés en ressources. Face à ce constat, UNICEF a initié et financé une étude pilote visant à évaluer les risques d’inondations dans 4 localités situées dans des provinces particulièrement exposées aux risques de crues en raison de leur géomorphologie et des conditions climatiques : NordUbangi, Sud-Ubangui, Equateur et Tshopo. MESSAGES CLÉS • Lilanga-Bobangi est touchée par des inondations longues et fréquentes, qui durent parfois plus de 3 mois entre l’arrivée de l’eau et son retrait total. • Ces inondations contribuent à accentuer les vulnérabilités des ménages, en particulier en ce qui concerne l’éducation des enfants , la situation sanitaire , les conditions de logement et la sécurité alimentaire . • Améliorer le système d’évacuation d’eau, renforcer les bords du fleuves, renforcer les infrastructures essentielles afin qu’elles résistent aux inondations et adopter des mesures de contingence faisaient partie des actions considérées comme prioritaires dans les localités évaluées

DR Congo: Etude préliminaire pour la mise en place d’actions anticipatoires sur les inondations, oct

08.02.2024 20:03 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: REACH Initiative, UN Children's Fund Please refer to the attached file. CONTEXTE OBJECTIFS La République démocratique du Congo est régulièrement confrontée à des épisodes d’inondations, à la fois pluviales et fluviales. En raison de vulnérabilités sous-jacentes liées à une pauvreté chronique , ces inondations peuvent provoquer d’importants dégâts humains et matériels, comme l’ont montré les épisodes récents survenus à Kinshasa en décembre 2022 et Kalehe en mai 2023. Dans ce contexte, une préparation adéquate face à ces aléas souvent cycliques apparaît essentielle – y compris endehors des métropoles et des chefs-lieux des provinces, souvent davantage priorisés et dotés en ressources. Face à ce constat, UNICEF a initié et financé une étude pilote visant à évaluer les risques d’inondations dans 4 localités situées dans des provinces particulièrement exposées aux risques de crues en raison de leur géomorphologie et des conditions climatiques : NordUbangi, Sud-Ubangui, Equateur et Tshopo. MESSAGES CLÉS • Les infrastructures EHA et notamment les points d’eau, fragilisées par les inondations passées, semblaient largement insuffisantes pour couvrir l’ensemble des besoins de la population des 4 quartiers évalués à Libenge. Aucun des ménages n'avait accès à de l’eau en quantité suffisante pour répondre à l'ensemble de ses besoins de base et 100% des ménages ont indiqué que les difficultés d’accès à l’eau potable était l’une des principales conséquences des inondations pour la communauté . • Une grande majorité des ménages ont rapporté des difficultés importantes d’accès à la nourriture, directement liées aux inondations ayant touché la localité lors des dernières saisons agricoles. 99% des ménages ayant connu des inondations ont rapporté avoir fait face à des pertes de revenus lors des derniers épisodes d’inondation, dont la cause principale est la destruction ou l’inaccessibilité des champs . • La construction de ponts et/ou le renforcement des infrastructures routières pour faciliter la circulation en période d'inondations ainsi que les travaux visant à faciliter le drainage des eaux vers la rivière tels que les caniveaux et canalisations sont considérés comme des priorités pour réduire les risques liés aux inondations .

DR Congo: Etude préliminaire pour la mise en place d’actions anticipatoires sur les inondations, oct

08.02.2024 20:03 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: REACH Initiative, UN Children's Fund Please refer to the attached file. CONTEXTE OBJECTIFS La République Démocratique du Congo est régulièrement confrontée à des épisodes d’inondations, à la fois pluviales et fluviales. En raison de vulnérabilités sous-jacentes liées à une pauvreté chronique 1 , ces inondations peuvent provoquer d’importants dégâts humains et matériels, comme l’ont montré les épisodes récents survenus à Kinshasa en décembre 2022 et Kalehe en mai 2023. Dans ce contexte, une préparation adéquate face à ces aléas souvent cycliques apparaît essentielle – y compris endehors des métropoles et des chefs-lieux des provinces, souvent davantage priorisés et dotés en ressources. Face à ce constat, UNICEF a initié et financé une étude pilote visant à évaluer les risques d’inondations dans 4 localités situées dans des provinces particulièrement exposées aux risques de crues en raison de leur géomorphologie et des conditions climatiques2 : Nord-Ubangi, Sud-Ubangui, Equateur et Tshopo. MESSAGES CLÉS • Le territoire d'Isangi avait fait face à de multiples épisodes d'inondations au cours des dernières années, touchant la plupart des quartiers de la ville d'Isangi, et en particulier au bord du fleuve Congo . • Les inondations entrainent des risques sanitaires importants dans la localité, en raison de la contamination des points d'eau et des surfaces pendant et après les épisodes d'inondations . • Les travaux visant à améliorer le système d’évacuation d’eau et renforcer les bords du fleuve / rivières étaient considérés comme des priorités pour réduire les risques liés aux inondations : d'après les communautés consultées, ils permettraient d'éviter les reflux d'eau venant des caniveaux, d'améliorer l'évacuation de l'eau, et de limiter l'érosion des bords du fleuve et des rivières . • La plupart des quartiers d'Isangi centre étant très exposés, un soutien permettant aux ménages d'adapter leurs habitations aux inondations semblait plus pertinent qu'une relocalisation .

DR Congo: La vaccination diminue de moitié la mortalité chez les personnes infectées par Ebola

08.02.2024 11:50 Countries: Democratic Republic of the Congo, Guinea Source: Médecins Sans Frontières Une étude menée par Epicentre et d’autres organismes de recherche confirme l’importance de la vaccination contre Ebola pendant les épidémies : au-delà de la réduction du risque d’infection, la vaccination diminue la mortalité des personnes infectées. Etude observationnelle Une étude observationnelle menée par Epicentre, branche de Médecins Sans Frontières dédiée à l’épidémiologie et la recherche médicale, , montre pour la première fois que la vaccination permet de diminuer de moitié la mortalité chez les personnes infectées par Ebola. Menée en collaboration avec l'Institut National de Recherche Biomédicale et le ministère de la Santé de la République Démocratique du Congo , cette étude portant sur l’analyse de données collectées lors de la 10ème épidémie d'Ebola en RDC a révélé que sur les 2 279 patients atteints d’Ebola confirmés et admis dans un centre de traitement Ebola entre le 27 juillet 2018 et le 27 avril 2020, le risque de décès s’élevait à 56 % pour les patients non vaccinés, mais chutait à 25 % chez ceux qui avaient reçu le vaccin. Cette réduction de mortalité s'appliquait à tous les patients, quels que soient leur âge et leur genre. Cette nouvelle étude, financée par MSF, a porté sur le vaccin rVSVΔG-ZEBOV-GP, seul vaccin contre Ebola dont l'utilisation est recommandée pendant une épidémie. Conçu pour être administré en une seule dose, le vaccin rVSVΔG-ZEBOV-GP est recommandé pour la vaccination en anneau des personnes à haut risque d'exposition pendant les épidémies. Cette stratégie consiste à vacciner les contacts , les contacts de ces contacts et le personnel de santé/de première ligne.

DR Congo: DRC: At least 78,000 children displaced and families ripped apart as fighting escalates

08.02.2024 11:50 Country: Democratic Republic of the Congo Source: Save the Children KINSHASA, 8 February 2024 – Escalating violence in eastern Democratic Republic of Congo has forced at least 78,000 children to flee their homes in the past week, with thousands now on the road to Goma, Save the Children said. The renewed fighting between the Armed Forces of the Democratic Republic of the Congo and M23, a non-state armed group, has displaced at least 150,000 people, more than half of them children, since 2 February. Parents have reported that many children have been separated in the violence, although the number of lost children is unknown. Families are seeking refuge in displacement camps, churches, schools and with host families, with thousands now on the road looking for safety in Goma, the province’s capital. The use of artillery, drones, and explosives in eastern DRC is killing and injuring civilians and damaging and destroying essential infrastructure, said Save the Children. According to local media sources, in the violence, including . A market was hit on 7 February, and munitions also landed inside a school courtyard and close to a hospital. All schools in the area remain closed. Alicia*, who works at a Save the Children partner school in North Kivu, recounted the events on 2 February: *“It was last Friday around 5 p.m. that we heard bullets. Everyone fled in their own direction. Some children were even lost and have not yet been found. Many parents are crying about the disappearance of their children, but the number of children lost is not yet known. The road was cut off. Shops were looted. Schools have been closed and children are no longer studying. In addition, we are not going to return unless the situation improves.” * The DRC has long suffered from repeated cycles of influx of refugees, conflicts and unrest. Today, more than 25 million people are in dire need of humanitarian aid to survive and over seven million displaced. The current wave of violence follows a tumultuous year of heightened outbreaks of conflict in 2023, when intensified fighting in the east of the country between various groups displaced more than 1 million people, including at least 500,000 children. By the end of 2023, North Kivu alone had more than 2.4 million people internally displaced, according to the UNHCR. Greg Ramm, Save the Children Country Director in DRC said: “Children in eastern DRC are living through yet another a nightmare. Abrupt violence on the weekend has separated children from their families and forcibly torn them away from their homes. Families are now seeking refuge in schools, churches, and hospitals, hoping they won’t get caught in the crossfire. Meanwhile, host families, already stretched thin, are stepping up amid this deepening crisis. “This region has endured persistent violence, with children growing up in a relentless cycle of death, destruction, and displacement. Children in the DRC are not only witnessing the horrors of conflict but are also being recruited into violent armed groups, facing catastrophic hunger, and enduring sexual abuse. Urgent and resolute action is imperative to break the cycle of suffering for these innocent lives. “The rights and well-being of children across DRC must be prioritised. Children cannot continue to be caught in the crossfire. Save the Children calls for stronger and more consistent systems to hold to account the perpetrators of crimes affecting children. We call for all those involved in the fighting to affirm and adhere to international laws, human rights provisions, and rules and standards designed to protect children.” Currently, children and their families are finding it nearly impossible to access services needed for their protection and survival. The only safe route to access the displaced population is via boat. Save the Children has worked in the DRC since 1994 to meet humanitarian needs linked to the arrival of refugees and the displacement of populations due to armed conflict in eastern provinces. Save the Children has scaled up its humanitarian response to support existing care systems, training local leaders and communities to prevent and respond to exploitation and abuse, and ensuring access to healthcare through mobile clinics. It is also helping children access basic education by building classrooms, training teachers, and distributing learning materials. ENDS Notes to Editor: According to , about 52% of the population in the Democratic Republic of Congo are children. According to the UN, an offensive in October 2023 displaced more than 450,000 people in North Kivu:

DR Congo: Vaccination halves mortality among people infected with Ebola

08.02.2024 11:50 Countries: Democratic Republic of the Congo, Guinea Source: Médecins Sans Frontières A study conducted by Epicentre and other research organisations confirms the importance of vaccination against Ebola during epidemics: vaccination reduces not only the risk of infection, but also the risk of death. Paris, 8 February 2024 - An observational study conducted by Epicentre, Médecins Sans Frontières’ medical research and epidemiology centre, the results of which are published in The Lancet Infectious Diseases, shows for the first time that vaccination can halve mortality among people infected by Ebola. Conducted in collaboration with the Institut National de Recherche Biomédicale and the Ministry of Health of the Democratic Republic of Congo , this study, which analysed data collected during the 10th Ebola epidemic in the DRC, revealed that of the 2,279 confirmed Ebola patients admitted to an Ebola health facility between 27 July 2018 and 27 April 2020, the risk of dying was 56% among unvaccinated patients but fell to 25% for those who had received the vaccine. This reduction in mortality applied to all patients, regardless of age or gender. This new study, funded by MSF, focused on the rVSVΔG-ZEBOV-GP vaccine, the only Ebola vaccine recommended for use during an epidemic. Designed to be administered in a single dose, the rVSVΔG-ZEBOV-GP vaccine is recommended primarily for ring vaccination of people at high risk of exposure during epidemics. This strategy involves vaccinating contacts , contacts of these contacts, and healthcare/frontline workers. A phase 3 clinical trial conducted in Guinea found that the rVSVΔG-ZEBOV-GP vaccine greatly protects against Ebola virus disease . Nevertheless, some people, despite being vaccinated for more than 10 days, the period considered sufficient to develop immunity, still got infected with Ebola virus disease during the 10th Ebola epidemic in the DRC. This underscores the importance of describing not only the vaccine’s effectiveness against infection, but also Its impact on mortality. However, its impact on mortality during an epidemic had not yet been assessed, despite the fact that during the 10th Ebola epidemic in the DRC it appeared that some people got infected with Ebola despite having been vaccinated for more than 10 days, the period considered sufficient to develop immunity. While the goal is to vaccinate people as early as possible during outbreaks, prior to exposure to Ebola virus disease, the results of the Epicentre study show that the vaccine protects against the risk of death from Ebola infection even when people are vaccinated "late", ie, after having been exposed to Ebola virus disease. In addition, no antagonistic effect between vaccination and treatment against Ebola was observed in this study. “Vaccination after exposure to a person infected with Ebola virus disease, even when administered shortly before the onset of symptoms, still confers significant protection against death," explains Rebecca Coulborn, epidemiologist at Epicentre. “The reduced risk of death due to vaccination is in addition to the reduction due to Ebola-specific treatment, regardless of the delay before treatment.” This study provides further evidence of the importance of vaccination against Ebola during the epidemics that regularly occur in sub-Saharan Africa. These are most often caused by the Zaire ebolavirus species, which is associated with high mortality. Since 2019, two vaccines, rVSVΔG-ZEBOV-GP and Ad26.ZEBOV/MVA-BN-Filo, have obtained WHO prequalification against this strain. “In addition to the direct benefit, our results allow us to consider combining vaccination and treatment of patients who have been in direct contact with a person with confirmed Ebola virus disease in order to reduce the risk of illness and death”, says Etienne Gignoux, Director of Epicentre's Epidemiology and Training Department. 1. Lancet. 2017 Feb 4;389 :505-518. doi: 10.1016/S0140-6736 32621-6. Epub 2016 Dec 23. Efficacy and effectiveness of an rVSV-vectored vaccine in preventing Ebola virus disease: final results from the Guinea ring vaccination, open-label, cluster-randomised trial et Al.

DR Congo: République démocratique du Congo Bulletin des Prix, janvier 2024

08.02.2024 11:50 Country: Democratic Republic of the Congo Source: Famine Early Warning System Network Please refer to the attached file. Le Réseau de systèmes d’alerte précoce contre la famine surveille les tendances des prix des aliments de base dans les pays vulnérables à l'insécurité alimentaire. Pour chaque pays et chaque région couvert par FEWS NET, le Bulletin des prix fournit un ensemble de graphiques indiquant les prix mensuels de l’année commerciale en cours pour certains centres urbains, et permettant à l’utilisateur de comparer les tendances actuelles à la fois aux moyennes quinquennales, qui indiquent les tendances saisonnières, et aux prix de l'année précédente. Le maïs et le manioc constituent les denrées de base pour la majorité des congolais étant donné leurs usages dans la préparation de la pâte appelée foufou. La production locale du maïs et celle du manioc de meure inférieure aux besoins de consommation locale, ce qui explique la grande importation de la farine de maïs pour combler le déficit. Le riz vient entroisième position en termes d’importance dans l’alimentation des ménages et est plus consommé dans les grandes villes. Le haricot est généralement utilisé comme aliment d’accompagnement et se mange tant dans les milieux urbains que ruraux. L’huile de palme est utilisée dans la préparation de saliments, elle est plus consommée par les ménages pauvres. Le maïs, le manioc, le riz et le haricot sont vendus sur presque tousles grands marchés des provinces de la partie Est du pays. Le prix de carburant , à la quelle s’ajoute l’état des infrastructures routières qui relient les zones rurales de production aux grands marchés de consommation se complètent à d’autres facteurs multiples qui peuvent influencer les prix des denrées dans l’Est du pays.

DR Congo: Le Secrétaire général adjoint aux opérations de paix, Jean-Pierre Lacroix, appelle le M23

08.02.2024 11:50 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of the Congo Please refer to the attached file. Kinshasa, le 7 février 2024 : Le Secrétaire général adjoint aux opérations de paix, Jean-Pierre Lacroix, a appelé le M23 à cesser immédiatement son offensive dans l’Est de la RDC et à respecter la Feuille de route de Luanda. Il a exprimé sa solidarité aux populations affectées et réitéré l’engagement de la MONUSCO à mettre en œuvre son mandat de protection des civils. M. Lacroix s'est rendu dans la partie est du pays, notamment à Goma, Beni et Bukavu, du 2 au 5 février. Au cours de sa visite de terrain, il a rencontré les autorités provinciales, des représentants de la société civile, le personnel civil et en uniforme de la MONUSCO et l’état-major de la Force de la SADC en RDC . Le Secrétaire général adjoint aux opérations de paix a longuement discuté avec ses interlocuteurs des défis sécuritaires, du désengagement progressif et responsable de la MONUSCO et de la prévention de l’exploitation et des abus sexuels. Au cours de sa rencontre avec le commandant de la force de la SAMIDRC, le Général Dyakopu Monwabisi, M. Lacroix a souligné l’importance d’une coordination conjointe pour soutenir les FARDC dans leur lutte contre les groupes armés dans l’Est de la RDC. « Dans sa résolution 2717, le Conseil de sécurité a mandaté la MONUSCO d’examiner les moyens par lesquels elle pourrait fournir un soutien logistique et opérationnel limité à la force de la SADC . La Mission est en train d’explorer les options pour la matérialisation de ce soutien. Des propositions seront faites au Conseil de sécurité qui décidera de la nature et des modalités de cet appui », a déclaré M. Lacroix. A Kinshasa, le Secrétaire général adjoint aux opérations de paix a eu une audience avec le Chef de l'Etat congolais, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, le 6 février. A cette occasion, il a appelé à un renforcement de la présence et de la capacité des forces de défense et de sécurité congolaises en Ituri, au Nord-Kivu et au Sud-Kivu, les trois provinces que la MONUSCO doit quitter dans le cadre de son désengagement du pays. « Il est essentiel et souhaitable que le transfert des responsabilités en matière de sécurité et de protection des civils soit effectif parallèlement au retrait de la MONUSCO de certaines zones sensibles où les casques bleus assurent la sécurité physique de plusieurs centaines de milliers de civils », a indiqué M. Lacroix. Le Secrétaire général adjoint aux opérations de paix, Jean-Pierre Lacroix, était accompagné de Mme Catherine Pollard, Secrétaire générale adjointe chargée de la stratégie de gestion, de la politique et de la conformité, et de M. Christian Saunders, Coordinateur spécial pour l'amélioration de la réponse des Nations Unies à l'exploitation et aux abus sexuels.

DR Congo: East Africa and Yemen | Cholera outbreak - DG ECHO Daily Map | 07/02/2024

08.02.2024 11:50 Countries: Burundi, Congo, Democratic Republic of the Congo, Ethiopia, Kenya, Malawi, Mozambique, Somalia, South Sudan, Uganda, United Republic of Tanzania, Yemen, Zambia, Zimbabwe Source: European Commission's Directorate-General for European Civil Protection and Humanitarian Aid Operations Please refer to the attached Map.

DR Congo: République démocratique du Congo - Flash Update #2: De graves inondations affectent 18 p

08.02.2024 11:50 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs Please refer to the attached file. FAITS SAILLANTS • Près de 300 personnes sont décédées à la suite des inondations • Plus de 433 000 ménages affectés dans 18 provinces • Poursuite des évaluations dans les provinces affectées • 2 millions de dollars de l’USAID en appui à la réponse d’urgence APERÇU DE LA SITUATION Les fortes pluies qui ont débuté en mi-novembre 2023 se sont intensifié jusqu’au mois de janvier 2024, provoquant des inondations majeures dans au moins 181 des 26 provinces de la République démocratique du Congo . Selon une évaluation récente de la FAO, les provinces les plus durement touchées sont l'Équateur, le Kongo Central, le Lualaba, la Tshopo, le Nord-Ubangi, le Sud-Ubangi, le Tanganyika et le Mai-Ndombe. Plus de 1,6 million d'hectares de terres cultivables ont été submergés, affectant gravement les moyens de subsistance des populations locales qui dépendent de l'agriculture pour se nourrir. Le rapport de la FAO souligne que le mois de janvier est une période cruciale pour la production agricole en RDC. Les inondations risquent d'impacter la production de cultures vivrières essentielles telles que le riz, le maïs et le manioc, menaçant la sécurité alimentaire de millions de personnes. Au 2 fevrier, les acteurs humanitaires estiment à plus de 433 000 ménages, soit 2,19 millions de personnes, le nombre de personnes touchées. Des évaluations menées jusqu'à présent par des partenaires humanitaires dans certaines provinces, notamment le Sud-Kivu, la Tshopo et la capitale Kinshasa, fournissent une estimation approximative de l'ampleur de la crise : À Kinshasa, plus de 11 000 ménages ont été touchés. Les acteurs humanitaires ont recommandé des interventions d'urgence, telles que le transfert monétaire à usage multiple, pour répondre aux besoins des populations affectées. Dans le Sud-Kivu, plus de 20 460 personnes ont perdu leurs biens essentiels et vivent dans des conditions précaires dans le territoire de Kalehe. De plus, 15 000 personnes sinistrées vivent soit avec des familles d'accueil, soit dans des centres collectifs dans le territoire d’Uvira, tandisque plus de 5 000 autres personnes sont sinistrées dans le territoire de Mwenga. Dans la province de la Tshopo, 20 des 23 zones de santé ont été touchées par des inondations, entraînant le déplacement de plus de 270 000 personnes. Sept parmi les zones de santé inondées sont également confrontées à des violences armées. Les besoins sont immenses dans tous les domaines. Des milliers de familles ont tout perdu. La promiscuité dans les zones touchées accroît les risques épidémiologiques. La fourniture de nourriture, d'abris, de l'eau et de soins de santé est une priorité absolue. Le gouvernement congolais a développé un plan de réponse sur trois mois, actuellement en cours de discussions avec les partenaires humanitaires. Les discussions avec le Gouvernement sur l'identification des zones prioritaires, des besoins les plus urgents en fonction des capacités de réponse sectorielle sont achevées. Le 1er février, le Gouvernement des États-Unis a annoncé une contribution de 2 millions de dollars à l'ONG ACTED, par le biais du Bureau de l'assistance humanitaire de l'USAID, pour répondre aux besoins les plus urgents des populations touchées par les inondations dans les provinces du Nord Ubangi et de la Tshopo. Ce financement servira à fournir des articles ménagers, des abris, de l'eau et de la nourriture à 7 000 ménages, soit 44 800 personnes, dans les deux provinces. Les provinces de la Tshopo et du Nord-Ubangi sont parmi les plus touchées, avec respectivement 601 000 personnes et 1 413 500 personnes affectées La Banque mondiale a, pour sa part, accordé un financement de 400 000 dollars pour soutenir l'OMS dans sa réponse en matière de santé dans le cadre des inondations. Le Centre des opérations d'urgence en santé publique de l'OMS apporte son soutien au ministère de la Santé dans la coordination de la réponse en matière de santé. Le gouvernement a alloué une aide d'urgence de 1,5 million de dollars américains pour l'assistance alimentaire et non alimentaire aux familles sinistrées de la ville de Kinshasa, de Kananga et de Mbandaka . De plus, la République de Chine a fait un don de 2 000 tonnes de riz et une enveloppe de 100 000 dollars pour soutenir les familles affectées. Dans les pronvices affectées par les inondations, la réponse humanitaire est confrontée à plusieurs défis, notamment la faible présence des partenaires dans les zones touchées et une capacité limitée de réponse due au manque de ressources.

DR Congo: UNICEF strengthens response to DRC's worst floods in 60 years and growing cholera outbreak

08.02.2024 03:00 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Children's Fund Heavy rainfall leaves more than 2 million people – nearly 60 per cent children – in need of humanitarian assistance KINSHASA, Democratic Republic of the Congo, 7 February 2024 – UNICEF and partners are responding to devastating flooding in the Democratic Republic of the Congo , with the Congo River rising to levels not seen in more than 60 years. Eighteen out of DRC’s 26 provinces are affected following exceptionally heavy rainfall over the past couple of months, leaving more than 2 million people – nearly 60 per cent children – in need of assistance, according to OCHA estimates. Flood waters have reportedly destroyed or damaged almost 100,000 households, 1,325 schools, and 267 health facilities. Crops have spoiled in waterlogged fields, raising the prospect of food shortages in some places. With 40 per cent of cholera cases found in areas that are flooded or at risk of flooding, UNICEF has also ramped up efforts to contain an existing outbreak that threatens to spiral out of control. Some weather forecasters are warning of more rain, increasing the possibility that cholera will travel from areas where it is endemic via the Congo River to the urban centre of Kisangani and then to Kinshasa, the capital. In a similar situation in 2017, cholera expanded to the entire country, leading to almost 55,000 cases and more than 1,100 deaths. “Children in the DRC are facing the worst floods in decades and the worst cholera outbreak in years. The rising waters damage their homes and amplify the threat of waterborne diseases, putting them at heightened risk,” said UNICEF's Representative in the DRC, Grant Leaity. “Without immediate action to provide safe water, sanitation, and healthcare to contain the spread of cholera, widespread flooding could push the number of cases to unprecedented levels.” In 2023, more than 52,400 cholera cases and 462 deaths were recorded in DRC, making it one of the largest outbreaks in the world, according to the World Health Organization. DRC accounted for 80 per cent of all cholera cases in West and Central Africa. UNICEF is providing drinking water, water treatment kits, and health supplies to affected areas. The agency is also working with local authorities to ensure the continuation of child protection services, such as reuniting separated children with their families and providing mental health support. UNICEF-supported cholera management teams are also on the ground, providing a first response when cholera cases are suspected. This includes distributing cholera prevention kits, decontaminating homes and communal latrines, and setting up hand disinfection stations. Teams are also stepping up prevention measures, including awareness and surveillance efforts, and upgrading cholera treatment centres, including in Kinshasa. To support the government’s flood response plan, UNICEF is using core funding of $700,000 to kick-start WASH, health, and child protection interventions. A total of $9 million for UNICEF’s initial flood response in these three areas is needed.

DR Congo: People and medical facilities caught in crossfire as violence escalates in North Kivu

08.02.2024 03:00 Country: Democratic Republic of the Congo Source: Médecins Sans Frontières Medical facilities supported by teams from Médecins Sans Frontières have received huge influxes of war-wounded patients, as thousands of people flee the latest waves of armed clashes in North Kivu province, in eastern Democratic Republic of Congo . With civilians and medical facilities caught in the crossfire, MSF urgently calls on all parties to the conflict to ensure the safety of patients, medical staff and health facilities, the protection of civilians, and unhindered access for humanitarian organisations. In the weeks following 22 January, after an escalation in armed clashes between various armed groups in the area, some 10,000 people fled their homes in and around Mweso, in Masisi territory, and sought refuge in Mweso general hospital. In January, and notably in the past two weeks, MSF teams in the Ministry of Health-run hospital have treated around 67 war-wounded people, mostly for gunshot wounds and injuries from explosions. More than 50 of these patients were civilians, including 21 children under the age of 15. Additionally, our teams have provided displaced people with psychological support and distributed temporary shelters, water filters and soap. With fighting intensifying in Mweso over recent days, the number of people sheltering in the hospital has reduced, with many people fleeing the area towards Kitshanga, Katsiru, Nyanzale, Pinga, Kalembe and Kashunga. However, at least 2,500 people, including children whose parents have been killed, continue to shelter in Mweso hospital. “The situation is extremely concerning,” says Çaglar Tahiroglu, MSF project coordinator. “The hospital is overwhelmed, with thousands of people crowded inside, trying to find some protection from the fighting. Alongside the Ministry of Health, we are doing our best to help everyone, but we do not have enough necessities, such as food.” Conflict spills over to the south Across the border in South Kivu province, where according to the UN almost 155,000 people have been displaced since December 2022, the recent clashes have caused a new wave of displacement. Several thousand panicked people have arrived in recent days in the border town of Bweremana and in Minova, further south. At the MSF-supported Minova general hospital, medical staff treated around 30 injured people between 2 and 6 February, including 4 children, 10 women and 12 people requiring surgery. With the road between North Kivu’s capital, Goma, and the town of Shasha, 27 kilometres to the west, currently impassable due to the fighting, people are being referred from health centres in the southern part of North Kivu to Minova general hospital and other health facilities in South Kivu. This has overwhelmed these facilities with patients, including rising numbers of sexual violence patients. “Today, health facilities in Minova are overwhelmed and are facing shortages of essential medicines to treat common conditions such as malaria, diarrhoeal diseases, malnutrition and respiratory infections,” says Rabia Ben Alí, MSF emergency coordinator in South Kivu. “Over the past four weeks, we have seen the number of weekly cases of sexual violence treated at the hospital in Minova doubling.” Caught in the crossfire As fighting intensifies and approaches the cities of Mweso and Minova, the safety of civilians, medical staff and patients is in increasing jeopardy. In Mweso city centre, several houses have been hit by explosives, killing civilians. In the week of 22 January alone, an estimated 20 civilians were killed, including one child, and a further 41 were injured. In the last week of January, bullets from crossfire hit the MSF base and Mweso hospital, injuring one caregiver, while on 2 February, the area between Mweso hospital and the MSF base was hit by an explosive. Concerned for the safety of our teams, we have decided to temporarily relocate some staff from Mweso and Minova. “We continue to provide support, mostly remote, to Mweso hospital, as well as to nine health centres in the area,” says Tahiroglu. “MSF staff will return as soon as the security situation allows. However, we cannot provide medical care under these conditions, where healthcare facilities are not protected and medical staff are caught in the crossfire.”

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