05.07.2024 15:40 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: Government of the Democratic Republic of the Congo, World Health Organization Please refer to the attached file. Bas Uele, Equateur, Haut Uele, Ituri, Kasai, Kasai Central, Kasai Oriental, Kinshasa, Kongo Central, Kwango, Kwilu, Lomami, Lualaba, Maindombe, Maniema, Mongala, Nord-Ubangi, Nord-Kivu, Sankuru, Sud-Kivu, Sud-Ubangi, Tshopo et Tshuapa CONTEXTE ▪ Le 16 décembre 2022, le ministre national de la santé publique, hygiène et prévention a déclaré par communiqué officiel une épidémie de variole simienne à l’échelle nationale en RDC. ▪ En février 2023, le Centre des opérations d’urgence de santé publique a mis en place la Gestion de l’Incident de la variole simienne. ▪ En 2023, un cumul de 14,626 cas suspects a été notifié avec 654 décès, soit une létalité de 4,5 %. L'augmentation des cas observés au cours de 2023 en RDC, ainsi que la transmission sexuelle nouvellement documentée en mars dans certaines DPS et en juillet – septembre 2023 , confirment l'importance croissante de la transmission interhumaine de la variole simienne, y compris la transmission sexuelle.
05.07.2024 15:40 Countries: Burkina Faso, Democratic Republic of the Congo, Kenya, Nigeria, South Sudan Source: Armed Conflict Location & Event Data Project Please refer to the attached file. In this Regional Overview DRC: Civilian deaths from targeted attacks by the ADF spike in North Kivu Burkina Faso: Heavy military losses lead to suspicions of a potential coup Kenya: Rising grassroots anti-tax demonstrations against the 2024 Finance Bill Nigeria: Violence surges in Niger state South Sudan: Deadly violence rises in Nyirol county, Jonglei State Democratic Republic of the Congo: Civilian deaths from targeted attacks by the ADF spike in North Kivu In June, attacks on civilians by the Islamic State-affiliated Allied Democratic Forces escalated in North Kivu province. The number of reported fatalities resulting from targeted attacks on civilians increased by more than five times compared to the previous month. The violence prompted concern from the African Union, which called on the Congolese authorities and neighboring states to take action against the escalation.1 ACLED records 10 ADF attacks against civilians that each resulted in more than 10 reported fatalities. Several cases involved people being tied up and executed. Two incidents in Beni territory alone accounted for 84 deaths — almost 40% of the more than 220 fatalities perpetrated by the group in June. The military response to this insecurity has forced the ADF to operate in smaller groups,2 but it may also be pushing the ADF southward. Last month, ACLED records the ADF involved in violence in places that indicate the group is expanding southward in North Kivu, likely capitalizing on the military focus on the M23 conflict. Despite the attention on M23, the ADF remains the most deadly armed group for civilians in the DRC.
05.07.2024 15:40 Country: Democratic Republic of the Congo Source: European Commission The European Union welcomes the announcement of a humanitarian truce in the Eastern Democratic Republic of Congo . The EU praises efforts by the United States of America and strongly welcomes the commitment by both DRC and Rwanda, hoping this humanitarian truce will lead to a permanent ceasefire, and allow to build a sustainable political solution in the context of Luanda and Nairobi processes. The dramatic humanitarian situation in the region underscores the pressing need to stop the violence immediately. It is also imperative to demobilize all armed groups and end any support to these groups, as stipulated in the EU statement of 4 March 2024. Aligned with its Great Lakes Strategy, the EU reasserts the importance of addressing the root causes of the crisis and fostering cooperation among the countries in the region. The EU remains steadfast in its readiness to support efforts aimed at securing lasting peace and promoting sustainable development throughout the region. CONTACT DETAILS NABILA MASSRALI Spokesperson for Foreign Affairs and Security Policy nabila.massrali@ec.europa.eu +32 2 29 88093 +32 460 79 52 44 JENNIFER SÁNCHEZ DA SILVA Press Officer for International Partnerships/Foreign Affairs and Security Policy Jennifer.Sanchez-Da-Silva@ec.europa.eu +32 229 58316
05.07.2024 07:00 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Human Rights Council GENÈVE - Les experts de l'ONU* ont déclaré aujourd'hui qu'ils étaient alarmés par les informations faisant état d'une traite des personnes généralisée, en particulier à des fins d'esclavage et d'exploitation sexuels, et d'une augmentation des mariages d'enfants et des mariages forcés en raison du conflit et des déplacements de population dans l'est de la République démocratique du Congo. "Nous sommes consternés par les chiffres rapportés, au moins 531 victimes de violences sexuelles liées au conflit d'août 2023 à juin 2024, dans les provinces du Nord-Kivu, du Sud-Kivu, de l'Ituri, du Tanganyika et du Maniema", ont déclaré les experts. "Les allégations qui nous ont été rapportées décrivent des femmes et des filles déplacées enlevées à des fins de violence sexuelle, d'exploitation sexuelle ou d'esclavage sexuel, alors qu'elles étaient à la recherche de nourriture ou de bois de chauffage ou qu'elles participaient à des activités agricoles", ont déclaré les experts. "Les rapports faisant état de l'implication des forces de sécurité et de défense dans l'esclavage sexuel, l'exploitation sexuelle, la violence sexuelle et le mariage d'enfants sont très préoccupants. L'augmentation signalée des mariages d'enfants, des mariages précoces et des mariages forcés, ainsi que la normalisation de cette violation des droits de l'homme, sont très préoccupantes, ont déclaré les experts. Le manque d'identification des victimes de la traite et des personnes risquant d'en faire l'objet, ainsi que le manque d'accès aux services de protection, constituent une préoccupation majeure dans le contexte du conflit et de la crise humanitaire en cours. "Nous sommes également conscients qu'il ne s'agit que de la partie émergée de l'iceberg. Des difficultés, telles que la crainte de représailles de la part des groupes armés, la stigmatisation sociale, l'absence de suivi efficace des victimes d'enlèvement susceptibles de faire l'objet de la traite, l'identification et l'orientation rapide vers des services de protection, ainsi que l'impunité généralisée, empêchent les victimes de se présenter aux autorités et aux entités des Nations unies", ont déclaré les experts. Les affrontements entre les forces armées et les groupes armés non étatiques dans des provinces telles que le Nord et le Sud-Kivu provoquent des déplacements massifs de population, exacerbant les risques en matière de protection. Les organisations humanitaires et de la société civile ont du mal à opérer dans ces zones et à y accéder, ce qui entrave gravement l'accès des personnes déplacées à la nourriture et à l'éducation, ainsi qu'à la protection. Les jeunes filles, en particulier, courent un risque accru d'être victimes de la traite à des fins d'exploitation sexuelle et de mariage d'enfants**.** Les experts ont également exprimé leur inquiétude quant à la fermeture de la Mission des Nations Unies en RDC. "Nous craignons qu'avec le retrait de la MONUSCO, des éléments clés des systèmes d'alerte précoce sur les violations des droits de l'homme ne soient plus opérationnels, ce qui limitera considérablement la surveillance, le signalement et les enquêtes en matière de droits de l'homme", ont-ils déclaré. Le gouvernement de la RDC devrait garantir l'accès sans entrave des acteurs des droits de l'homme sur l'ensemble du territoire, afin d'assurer la documentation et la prévention des violations des droits de l'homme, notamment en ce qui concerne les violences sexuelles liées au conflit et la traite des personnes. "Nous exhortons toutes les parties au conflit en RDC, en coopération avec la communauté internationale, à s'attaquer activement à ces violations et à renforcer l'accès à la justice et aux voies de recours, en vue de lutter contre l'impunité comme moyen de construire une paix durable et de garantir que les auteurs de ces crimes odieux répondent de leurs actes, conformément au droit international", ont déclaré les experts. Ils ont été en contact avec les autorités de la RDC. *Les experts : Siobhán Mullally, Tomoya Obokata, ; Dorothy Estrada Tanck , Claudia Flores, Ivana Krstić, Haina Lu, et Laura Nyirinkindi, ; Mama Fatima Singhateh, ; Paula Gaviria Betancur, ; Farida Shaheed, Les rapporteurs spéciaux font partie des du Conseil des droits de l'homme. Les procédures spéciales, le plus grand groupe d'experts indépendants du système des droits de l'homme des Nations unies, est le nom général des mécanismes indépendants d'enquête et de suivi du Conseil qui traitent soit de situations nationales spécifiques, soit de questions thématiques dans toutes les parties du monde. Les experts des procédures spéciales travaillent sur une base volontaire ; ils ne font pas partie du personnel des Nations unies et ne reçoivent pas de salaire pour leur travail. Ils sont indépendants de tout gouvernement ou organisation et travaillent à titre individuel. Pour plus d'informations et pour les demandes des médias, veuillez contacter Clara Pascual de Vargas . Pour les **demandes de renseignements des médias concernant d'**autres experts indépendants des Nations unies, veuillez contacter Dharisha Indraguptha ou John Newland . Suivez l'actualité des experts indépendants des Nations unies en matière de droits de l'homme sur Twitter .
04.07.2024 22:20 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Human Rights Council GENEVA – UN experts* said today they are alarmed by reports of widespread trafficking in persons, particularly for sexual slavery and exploitation, and rising child and forced marriages stemming from conflict and displacement in eastern Democratic Republic of Congo. “We are appalled by the numbers reported, at least 531 victims of conflict-related sexual violence from August 2023 to June 2024, in the provinces of North Kivu, South Kivu, Ituri, Tanganyika and Maniema,” the experts said. “Allegations brought to us describe displaced women and girls abducted for the purpose of sexual violence, sexual exploitation or sexual slavery, while looking for food or firewood or involved in farming activities. “Reports of involvement of security and defence forces in sexual slavery, sexual exploitation, sexual violence and child marriage are a serious concern,” they said. The reported increase in child, early and forced marriage and the normalisation of this human rights violation was very concerning, the experts said. The lack of identification of trafficked persons and persons at risk of trafficking and lack of access to protection services is a key concern amid the ongoing conflict and humanitarian crisis. “We are aware also that this is only the tip of the iceberg. Challenges, such as fear of reprisals by armed groups, social stigma, lack of efficient tracking of abducted victims that may be trafficked, identification, and prompt referral to protection services, as well as widespread impunity, prevent victims from reporting to authorities and UN entities,” the experts said. Clashes between armed forces and non-state armed groups in provinces such as North and South Kivu are causing massive population displacement, exacerbating protection risks. Humanitarian and civil society organisations struggle to operate in and access these areas, which severely hinders displaced persons’ access to food and education, and protection. Young girls, in particular, face increased risk of being trafficked for sexual exploitation and child marriage. The experts also expressed concern about the closure of the UN Mission in DRC. “We are worried that with the MONUSCO withdrawal, key components of early warning systems of human rights violations will no longer be operational, significantly limiting human rights monitoring, reporting and investigation,” they said. The DRC government should guarantee the unhindered access of human rights actors throughout the entire territory, to ensure the documentation and prevention of human rights violations, including regarding conflict-related sexual violence and trafficking in persons. “We urge all parties to the conflict in the DRC, in cooperation with the international community, to actively address such violations and reinforce access to justice and remedies, with a view to tackling impunity as a path to building lasting peace and ensuring accountability for perpetrators of these heinous crimes, in compliance with international law,” the experts said. They have been in contact with DRC authorities. *The experts: Siobhán Mullally, Tomoya Obokata, ; Dorothy Estrada Tanck , Claudia Flores, Ivana Krstić, Haina Lu, and Laura Nyirinkindi, ; Mama Fatima Singhateh, ; Paula Gaviria Betancur, ; Farida Shaheed, The Special Rapporteurs are part of what is known as the of the Human Rights Council. Special Procedures, the largest body of independent experts in the UN Human Rights system, is the general name of the Council's independent fact-finding and monitoring mechanisms that address either specific country situations or thematic issues in all parts of the world. Special Procedures' experts work on a voluntary basis; they are not UN staff and do not receive a salary for their work. They are independent from any government or organization and serve in their individual capacity. For more information and media requests, please contact Clara Pascual de Vargas For media inquiries related to other UN independent experts, please contact Dharisha Indraguptha or John Newland Follow news related to the UN’s independent human rights experts on Twitter
04.07.2024 22:20 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: CCCM Cluster, International Organization for Migration, UN High Commissioner for Refugees Please refer to the attached Map.
04.07.2024 22:20 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: CCCM Cluster, International Organization for Migration, UN High Commissioner for Refugees Please refer to the attached Map.
04.07.2024 22:20 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: CCCM Cluster, International Organization for Migration, UN High Commissioner for Refugees Please refer to the attached Map.
04.07.2024 22:20 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: CCCM Cluster, International Organization for Migration, UN High Commissioner for Refugees Please refer to the attached Infographic.
04.07.2024 22:20 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: CCCM Cluster, International Organization for Migration, UN High Commissioner for Refugees Please refer to the attached Infographic.
04.07.2024 22:20 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: CCCM Cluster, International Organization for Migration, UN High Commissioner for Refugees Please refer to the attached Infographic.
04.07.2024 22:20 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: CCCM Cluster, International Organization for Migration, UN High Commissioner for Refugees Please refer to the attached file. Contexte operationnel Les crises récurrentes qui se produisent dans I'Est de la République Démocratique du Congo depuis plusieurs décennies sont préoccupantes. Actuellement, les forces gouvernementales congolaises sont dans une lutte qui s’'accentue contre le groupe armé M23 dans le Nord Kivu; le Sud Kivu est confronté a une situation collatérale a la crise du M23 en plus des conflits armés internes propres a cette province; les conflits intercommunautaires continuent de sévir dans le Tanganyika alors qu’en Ituri les agressions des groupes ADF, CODECO, ZAIRE ont des traces indélébiles malgré l'accalmie qui s’observe ces derniers temps. Ces situations qui contribuent aux déplacements forcés et massifs de populations, aggravent aussi les vulnérabilités déja présentes dans ces provinces qui sont confrontées a des besoins humanitaires sévéres et persistants. | s'observe la création de nouveaux sites, les extensions d’anciens sites, ainsi que la prolifération des nouveaux centres collectifs accompagnée d’une augmentation exponentielle de la démographie dans ces installations collectives. Cette situation met en difficulté les acteurs du secteur CCCM qui ne disposent pas d’assez des ressources pour répondre a une demande croissante en matiere de coordination et de gestion de ces installations collectives ainsi que l’encadrement des assistances multisectorielles. Le mois de mai 2024 a été marqué par la récurrence d’actes de violation du caractére civil et humanitaire des sites en Ituri et Nord Kivu; La persistance des cas de choléra dans plusieurs sites au Nord Kivu; les difficultés d’acceés dans des sites pour raisons soit d’insécurité ou d’impraticabilité des routes; un nombre insuffisant des gestionnaires des sites par rapport au nombre total des sites a couvrir.
04.07.2024 22:20 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: CCCM Cluster, International Organization for Migration, UN High Commissioner for Refugees Please refer to the attached file. Contexte opérationnel Les crises récurrentes qui se produisent dans I'Est de la République Démocratique du Congo depuis plusieurs décennies sont préoccupantes. Actuellement, les forces gouvernementales congolaises sont dans une lutte qui s’'accentue contre le groupe armé M23 dans le Nord Kivu; le Sud Kivu est confronté a une situation collatérale a la crise du M23 en plus des conflits armés internes propres a cette province; les conflits intercommunautaires continuent de sévir dans le Tanganyika alors qu’en Ituri les agressions des groupes ADF, CODECO, ZAIRE ont des traces indélébiles malgré l'accalmie qui s’observe ces derniers temps. Ces situations qui contribuent aux déplacements forcés et massifs de populations, aggravent aussi les vulnérabilités déja présentes dans ces provinces qui sont confrontées a des besoins humanitaires sévéres et persistants. | s'observe la création de nouveaux sites, les extensions d’anciens sites, ainsi que la prolifération des nouveaux centres collectifs accompagnée d’une augmentation exponentielle de la démographie dans ces installations collectives. Cette situation met en difficulté les acteurs du secteur CCCM qui ne disposent pas d’assez des ressources pour répondre a une demande croissante en matiere de coordination et de gestion de ces installations collectives ainsi que l’encadrement des assistances multisectorielles. Le mois d’avril 2024 a été marqué par les actes de violation du caractéere civil et humanitaire des sites, en particulier au Nord Kivu, dans les sites situés dans la périphérie de la ville de Goma, des actes ayant débouché a 35 incidents sur des atteintes aux droits de l'homme. Des cas similaires, qui sont en cours d'études et documentation, ont été signalés dans le Sud Kivu, en Ituri et dans le Tanganyika.
04.07.2024 22:20 Country: Democratic Republic of the Congo Source: Mercy Corps Please refer to the attached file. RESUME EXECUTIF L’Équipe d’Analyse de Crises - RD Congo présente dans ce rapport son modèle prédictif pour le second semestre 2024 pour la crise M23. Ce rapport fait partie d’une série de rapports prédictifs sur les crises à fort impact tels qu’identifiés et classifiés par l’équipe CAT au premier semestre de l’année 2024. Malgré la multitude d’acteurs armés, y compris les acteurs armés non étatiques nationaux et internationaux, les trois crises identifiées ont été la crise M23, la crise CODECO, et la crise ADF. Ce rapport est le premier de cette série, et concerne donc l’anayse prédictive de la crise M23 pour les quatre mois à venir. Le rapport est divisé en trois parties : la méthodologie et les limites du cadre analytique, un aperçu et une analyse de la situation actuelle et son impact sur l’espace humanitaire et la protection civile, et l’analyse détaillée des deux scénarios identifiés, celui étant le plus probable et celui représentant le pire scenario en termes d’instabilité.
04.07.2024 22:20 Country: Democratic Republic of the Congo Source: Mercy Corps Please refer to the attached file. EXECUTIVE SUMMARY In this report, the Crisis Analysis Team - DR Congo presents its predictive model for 2024 of the second half of 2024, in relation to the M23 crisis. This report is part of a series of predictive reports on high-impact crises as identified and classified by the CAT team in the first half of 2024. Despite the multitude of different armed actors, including national and international nonstate armed actors, the three crises identified for analysis were the M23 crisis, the CODECO crisis and the ADF crisis. This report is the first in the series and contains our predictive analysis of the M23 crisis over the next four months. The report is divided into three parts: methodology and limitations of the analytical framework; an overview and analysis of the current situation and its impact on the humanitarian field and civil protection; and a detailed analysis of two scenarios, one the most likely scenario and one the worst-case scenario in terms of instability.
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