DR Congo: Inondations au Congo : 350.000 personnes ont besoin d’une aide humanitaire, selon l’ONU

19.01.2024 21:10 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN News Centre La République du Congo est touchée par des inondations sans précédent en six décennies suite aux « pluies extrêmes » tombées depuis octobre dernier qui ont fait déborder les berges de l’Oubangui, un affluent du fleuve Congo. Le 29 décembre dernier, le gouvernement a officiellement déclaré l’état d’urgence pour inondations. Trois semaines plus tard, le trois-quart des douze départements du pays sont toujours sous les eaux et le pays compte 1,8 million de sinistrés dont 350.000 ont besoin d’une aide humanitaire, a indiqué Jens Laerke, porte-parole du Bureau de coordination de l’aide humanitaire de l’ONU lors d’un point presse ce vendredi aux Nations Unies à Genève. Villages, écoles et centres de santé inondés M. Laerke a expliqué que les inondations ont laissé les communautés locales sans abri ni accès aux services de santé primaires. De son côté, l’Organisation mondiale de la santé ) avait précisé la semaine dernière que les inondations avaient détruit ou endommagé 34 centres de santé, 120 écoles et plus de 64.000 maisons dans les zones touchées. Dans certaines régions, l'accès à l'eau potable et aux installations sanitaires est limité, voire inexistant. Quelque 27.000 enfants ne sont plus scolarisés, déplore l"OCHA. A cette situation, s’ajoutent les menaces sanitaires, notamment le risque d'épidémies de maladies transmises par l'eau, comme le choléra, de maladies à transmission vectorielle, comme le paludisme ou la dengue, et de maladies évitables par la vaccination, comme la rougeole. La santé nutritionnelle de la mère et de l'enfant est également menacée, tandis que les violences sexuelles ainsi que celles basées sur le genre pourraient aussi augmenter, s’inquiète l’OMS. L’accès aux sinistrés est rendu très difficile en raison des inondations et de nombreux villages ne peuvent être atteints que par bateau ou par canoë, a indiqué le porte-parole d’OCHA. Plan de réponse à hauteur de 26 millions de dollars Les agences des Nations Unies ont élaboré un plan de réponse avec le gouvernement, d’un budget total d'environ 26 millions de dollars avec comme priorité la construction d’abris, la sécurité alimentaire, la nutrition, la santé et l'eau, l'assainissement et l'hygiène. Il ne s’agit-là que de premières mesures pour faire face à la situation d’urgence, a prévenu Jens Laerke. Les inondations pourraient également entraîner des conséquences à plus long terme. Selon les estimations d’OCHA, 2.300 hectares de terres cultivées ont été inondés, « ce qui laisse craindre que les moyens de production alimentaire, par exemple les arbres fruitiers et les engins de pêche, aient été détruits et que le bétail ait péri », a indiqué le porte-parole d’OCHA. Une allocation de 3,6 millions de dollars du Fonds central d'intervention d’urgence a d’ores et déjà été allouée pour répondre aux besoins les plus urgents de 270.000 personnes. Cependant, pour mettre en œuvre l’ensemble de la réponse, un financement international plus important sera nécessaire, a insisté Jens Laerke.

DR Congo: RD Congo : Situation humanitaire dans la province du Nord-Kivu

19.01.2024 21:10 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs Please refer to the attached file. Ce rapport est produit par OCHA RDC en collaboration avec les partenaires humanitaires. Il couvre la période du 16 décembre 2023 au 15 janvier 2024. FAITS MAJEURS • Besoin urgent d’assistance à plus de 72 000 personnes déplacées dans plusieurs villages sur l’axe Sake-Bweremana • Plus de 608 000 personnes ont reçu une ration alimentaire mensuelle en décembre 2023 au Nord-Kivu • Environ 22 500 personnes sensibilisées sur la Prévention de l'Exploitation et des Abus Sexuels CHIFFRES CLÉS 2.5M personnes déplacées internes au Nord-Kivu au 31 décembre 2023 1.6M personnes retournées au Nord-Kivu au 31 décembre 2023 2,6M personnes en insécurité alimentaire, IPC3+ APERÇU DE LA SITUATION Les affrontements entre groupes armes ont repris dans le territoire de Masisi depuis début janvier 2024, après une légère accalmie. Le contexte humanitaire continue de se détériorer, avec des déplacements massifs de population et des atteintes aux droits humains. En depit du contexte volatile, les acteurs humanitaires ont maintenu leur presence et continuent d’apporter la réponse aux besoins des aux populations affectées. Dans le territoire de Masisi, les combats récurrents entre groupes ont fait au moins huit civils tués depuis mi-décembre, occasionnant des déplacements de population vers plusieurs localités, notamment Kitshanga et Mushebere , ainsi que sur les collines surplombant Sake vers Bweremana, Shasha et Sake au Nord-Kivu et Minova au Sud-Kivu. Selon la Croix-Rouge congolaise, plus de 72 000 personnes déplacées vivent désormais dans des conditions d’extrême précarité en raison de la surpopulation engendrée par l’afflux de nouveaux deplacés vers les villages situés sur l’axe Sake – Bweremana. Le nombre d'arrivées augmente également à Rubaya. Les besoins humanitaires deviennent de plus en plus urgents pour les populations deplacées dans la zone de santé de Kirotshe. De plus, la pression croissante sur Sake qui compte près de 10 000 ménages déplacés répartis sur quatre sites de déplacés, entraîne également des mouvements de population vers les sites de la ville Goma, qui sont déjà saturés. Dans le territoire de Beni, on note un regain des attaques meurtrières contre les populations civiles. Depuis le 15 décembre, au moins 26 civils ont été tués lors d'attaques et d'affrontements dans plusieurs villages. Selon les acteurs de protection, 518 personnes ont été tuées par des acteurs armés, dans 240 incidents enregistrés en 2023 dans les territoires de Beni et Lubero, au Nord-Kivu. Dans le territoire de Rutshuru, la situation de protection des civils demeure préoccupante, en dépit d’une accalmie observée depuis début janvier. Entre le 3 et le 11 janvier, des hommes armés on enlevé 13 personnes. Par ailleurs, plusieurs sources de la société civile locale ont rapporté des cas d'assassinats ciblés contre des civils dans les groupements de Bukombo et Bambo. Selon certaines sources locales, un conflit entre des éleveurs et des agriculteurs aux abords de la cité de Rutshuru centre a dégénéré en un affrontement dans la soirée du mardi 2 janvier, causant plusieurs blessés. Ce conflit naissant entre agriculteurs et éleveurs constitue un nouveau facteur d'instabilité sociale et de détérioration du contexte de protection des civils à Rutshuru. Dans le territoire de Nyiragongo et la ville de Goma, l'activisme des éléments des groupes armés dans les sites de déplacés préoccupe les acteurs humanitaires. Ces éléments armés seraient auteurs de plusieurs cas d'enlèvements de civils, d'arrestations arbitraires et de diverses formes de tracasseries signalées dans les sites de deplacées. Au moins deux personnes déplacées ont déjà été tuées dans les sites et leurs environs à Goma et dans le territoire de Nyiragongo depuis le début du mois de janvier. Dans le territoire de Walikale, l'agglomération de Hombo a été durement touchée par des inondations à la suite de fortes pluies survenues le 7 janvier 2024. Des sources humanitaires et locales estiment à plus de 24 000, le nombre de personnes affectées par les inondations, soit près de 9 000 ménages sinitrés dans 12 aires de santé. Les dégâts matériels sont nombreux et les pertes sont significatives. Une partie du Centre de santé de Hombo Nord a été partiellement détruite sous la force des eaux de ruisellement et au moins neuf petits ponts de franchieement des rivières ont été emportés. Les autorités locales ont également confirmé la perte de nombreux animaux domestiques emportés par les eaux et la destruction des champs de cultures due aux inondations. Une équipe de l’ONG MEDAIR est arrivée dans la zone le 12 janvier 2024 pour évaluer la situation.

DR Congo: Afcon: DRC kicks off football dreams as conflict and climate change drive hunger

18.01.2024 20:00 Country: Democratic Republic of the Congo Source: World Food Programme African Cup of Nations joy is marred by displacements and soaring sexual violence in the east as the World Food Programme makes tough decisions amid funding shortages The is, alongside , and , among the World Food Programme’s biggest emergencies – reeling from decades of conflict and climate change that continue to reduce people’s access to the most basic foods, increasing hunger to unprecedented levels. As WFP grapples with a and growing humanitarian needs, the horrific stories – not least of sexual violence – unfurling in the east of DRC beg a simple question: how is it that tragedy on such a scale receives so little attention? To find out more about the challenges DRC faces, we spoke to Natasha Nadazdin, WFP's Deputy Country Director in Kinshasa. For with all eyes on the African Cup of Nations, it's perhaps a moment to reflect on what might be possible for the children of DRC – and, for that matter, children across the Continent – if they were to receive the nourishment, education and training they need to create a level playing field both on the pitch and off. Could you describe the situation in DRC? Things are so bad, so seriously challenging for people, and at a scale so vast, that, amazingly, its problems seem to have fallen off the international news agenda altogether; a state of tragedy for millions is widely regarded as the country’s default, its lot, as dozens of armed groups compete for its natural bounty. Struggles for power – and not just those within the country – have plunged the east of the country in particular into a ruthless cycle of conflict and insecurity. More than 6 million people are displaced and cut off from their pastures – including 720,000 people who’ve fled their homes since October. Livelihoods are trashed. Reports of women and girls being raped are depressingly frequent as lawlessness exposes tens of thousands to . Then there is DRC’s ‘resource curse’ – demand for minerals such as cobalt, gold, and copper is mega-high around the world, but there is nothing in it for those uprooted from their homes, as wealth does not trickle down to the poorest. Give us a sense of the scale? More than 25 million people – a quarter of the country – are at IPC3 or IPC4, the ‘crisis’ and ‘emergency’ stages of the global standard for measuring food insecurity . Decades of conflict, dozens of armed groups, political instability – the list of course goes on – intersect with climate change, so that every day is even more a matter of survival for the Congolese. Droughts, floods and other climate impacts decimate crops. Where food is grown, farmers struggle to access markets. Roads and bridges are often destroyed or blocked, resulting in food loss as trucks are forced to take substantially longer routes to get from A to B. And easing pressures starts in the east? While it is important to recognize the unique dynamics in each region, addressing the issues in the conflict-riven provinces of Ituri, North Kivu and South Kivu would contribute to improving the overall stability and development of the DRC. But this requires peace and the safe return and resettlement of the displaced population. Back on their land, their work would invite investments in rural infrastructure and resilience-building activities. It would also require the reintegration of combatants into a workforce that can help DRC not only fend for itself in terms of agriculture but also export food. What does WFP need for the next six months? WFP’s absolute minimum plan for 1.5 million of the most vulnerable is facing a net funding requirement of US$381.2 million for the next six months. But to keep our wider operations going we need US$567.8 million. How are we dealing with this shortfall? We call it extreme prioritization: providing full rations for six months to a lower number of people rather than spreading assistance too thinly such that no one is adequately served. It’s a painful decision – which is why we urgently need funds. Could you describe our work with other agencies? WFP works closely with agencies such as FAO and UNICEF, especially in Tanganyika and Kasai provinces. Projects supported by Sweden and Norway promote the links between humanitarian, development and peace work. So, there is a response to immediate needs while reducing long-term needs thanks to economic, social, technical and resilience activities to improve people’s ability to respond to crises. Over the past year, WFP has conducted several conflict-sensitivity analyses to better inform its programming, including through a joint project with FAO in the Kasai. The protection of the people we serve is at the heart of WFP's interventions. That takes us back to the problems faced by women and girls Women living in displaced camps have the impossible choice of letting their families go hungry or facing sexual violence as they venture out to find food and firewood, or are forced into unsafe strategies such as prostitution to survive. A mix of reasons lies behind the alarming uptick: from highly unequal gender relationships, a culture of impunity, a weak justice system, displacement and unsafe living conditions, to hunger and poverty, deepened by a lack of access to food and insufficient funding for humanitarian assistance. Regular and predictable food assistance can mitigate some of these survival strategies. At WFP, we are keen to highlight the links between food insecurity and the elevated protection risks that women face in eastern DRC. While providing food assistance and other needs – such as shelter, water and sanitation – is essential, joint advocacy, integrated solutions and programming are needed with many partners and stakeholders.

DR Congo: Suivi de la situation humanitaire - Fiche d’information des Zones de santé de Boga, Buni

18.01.2024 02:50 Country: Democratic Republic of the Congo Source: REACH Initiative Please refer to the attached file. SYNTHÈSE ET DONNÉES CLÉS Les conflits armés dans le territoire d'Irumu étaient à l'origine de la majorité des nombreux déplacements de population. Alors qu'il a été rapporté dans 75% des localités évaluées un choc ayant entrainé un départ de plus de la moitié de la population, la présence de personnes déplacées internes a été rapportée dans 96% des localités enquêtées. Les localités évaluées étaient donc souvent des localités d'accueil et de départ. 96% où la présence de PDI a été rapportée 86% où la principale source de revenu des ménages était l'agriculture 75% où la majorité de la population ne disposait pas de moustiquaires pour se protéger la nuit 82% où une meilleure situation sécuritaire était rapportée comme raison principale qui expliquait le choix de cette localité comme destination par les personnes déplacées 18% où le manque de documents nécessaires pour s'inscrire dans une école était une des difficultés principales qui limitaient l'accès à l'éducation 67% où la majorité de la population hôte ne disposait pas de supports de couchage et de couvertures 91% où la radio était le moyen préféré de la majorité de la population pour recevoir des informations CONTEXTE L’Est de la République Démocratique du Congo est caractérisé par une situation humanitaire complexe du fait de la présence de nombreux groupes armés, de tensions intercommunautaires, d’épidémies, de catastrophes naturelles et d’une pauvreté chronique. L’accès physique est souvent limité par la situation sécuritaire, le mauvais état des infrastructures et des conditions géographiques difficiles. Afin de pallier le manque d’information dans ces zones, REACH a mis en place un suivi de la situation humanitaire au Nord-Kivu, au Sud-Kivu, au Tanganyika et en Ituri. Il a pour objectif de collecter des informations, d’analyser et de partager régulièrement des informations actualisées concernant les besoins humanitaires multisectoriels dans l’ensemble de ces provinces, y compris dans les zones difficilement accessibles. L’ensemble des fiches d’information liées à ce projet, toutes disponibles sur le , donne un aperçu de la sévérité relative des besoins multisectoriels entre les zones de santé les plus affectées de ces provinces et de l’évolution dans le temps de ces besoins. APERÇU DE L’ÉVALUATION Le suivi de la situation humanitaire a pour but de collecter, d’analyser et de partager des informations sur les besoins humanitaires multisectoriels, l’accessibilité aux services essentiels et de renseigner les dynamiques de déplacement dans les zones de santé évaluées. Cette fiche présente les résultats de la collecte des données ayant eu lieu dans les ZS de Boga, Bunia, Gethy, Komanda, Nyankunde et Rwampara du 06 au 20 novembre, portant sur une période de 30 jours précédant la collecte de données. Ces résultats se basent sur 332 enquêtes conduites auprès d’informateurs clés dans 170 localités réparties dans les 6 ZS sur le territoire d'Irumu. La méthodologie utilisée pour la collecte de données est dite “zone de connaissance”. Elle consiste en des entretiens structurés avec des IC qui possèdent une connaissance approfondie et récente des localités renseignées. Plus d’informations sur la méthodologie sont disponibles en page 8. NOTE À LA LECTURE Les résultats, rapportés en % de localités évaluées, sont obtenus grâce aux informations des IC et doivent être considérés comme indicatifs. Sauf indication contraire, les résultats de chaque indicateur portent sur une période de rappel de 30 jours précédant la collecte de données. Les données présentées sous forme de cartes sont rapportées par ZS, tandis que celles sous forme de texte, graphiques et tableaux sont rapportées pour l’ensemble des localités évaluées .

Democratic Republic of the Congo - Record floodings

16.01.2024 16:01 Countries: Congo, Democratic Republic of the Congo Source: European Commission's Directorate-General for European Civil Protection and Humanitarian Aid Operations Exceptional rains have caused the Congo River to rise to its highest level since 1961. Government has declared a hydrological and ecological catastrophe. 15 out of 26 provinces are affected with at least 304,000 families impacted and 300 deaths. Floodings in Equateur impacted at least 600,000 persons. Kinshasa province is also heavily affected. According to available reports, 43,750 houses, 1,325 schools, 269 health centres, 41 public markets and 85 roads are damaged, but the toll is likely to be even higher. In collaboration with the Congolese authorities, local and international humanitarian organizations are boosting their efforts to undertake assessments and gather harmonized data. The dimension of the catastrophe is huge and comes on top of the already very dire humanitarian situation in Eastern DRC where over 6.5 million people are displaced due to conflict. In neighbouring Congo Republic, whose capital Brazzaville also sits on the banks across the river, at least 17 people have died in floods across eight departments including the capital, with more than 320,000 people affected.

DR Congo: West and Central Africa: 2023 Regional Funding Status - General Overview

15.01.2024 23:40 Countries: Burkina Faso, Cameroon, Central African Republic, Chad, Democratic Republic of the Congo, Mali, Niger, Nigeria Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs Please refer to the attached Infographic.

Democratic Republic of the Congo , Africa: Ebola Virus Disease outbreak , Final Report

15.01.2024 23:40 Countries: Burundi, Democratic Republic of the Congo, Rwanda, South Sudan, Uganda Source: International Federation of Red Cross And Red Crescent Societies Please refer to the attached file. Description of the disaster Since the first epidemic of Ebola Virus Disease identified in Yambuku province in 1976, until 30 September 2021 , the Democratic Republic of Congo had reported 12 epidemics of EVD. The epidemics have affected a total of 10 of the country's 26 provinces. The Disaster and Red Cross Red Crescent response to date 8 May 2018: 9th EVD epidemic was declared by the DRC MoH in Equateur province which marked IFRC response in the country. Others Key dates for the 9th, 10th , 11th and 12 th epidemics can be found in previous operation updates. 1 August 2018: 10th EVD epidemic was declared shortly after the declaration of the end of the ninth EVD epidemic in Equateur following cases confirmed in the Mabalako health zone in Beni territory in North Kivu province. Red Cross response teams from the 9th epidemic were immediately deployed to North Kivu. 21 August 2018: 2nd OIA Revision - response to the new EVD epidemic in North Kivu and continued with actions in Equateur. 28 September 2018: WHO revised its risk assessment for the epidemic and elevated the risk from high to very high 10 December 2018: IFRC issued a 6 Month Operation Update extending the timeframe until 21 May 2019, to ensure alignment with the Strategic Response Plan . 17 March 2019: IFRC issued the 3rd OIA Revision which scaled up operations in North Kivu and Ituri; and included epidemic preparedness in surrounding health zones; as well as epidemic preparedness in priority one countries. 19 July 2019: 4th revision of the OIA - activities timeframe was extended to 21 February 2020 . 18 December 2019: The OIA is revised for the 5th time to extend the timeframe to December 2020 and make provision for transition and recovery activities. Budget increases from CHF 43m to CHF 61m. . 1 June 2020: 11th EVD epidemic declared: While the operation was preparing for a transition from the response to the recovery phase, new EVD cases were reported in the town of Mbandaka in Equateur Province, the same area that had experienced the 9th epidemic, and the DRC MOH declared an EVD epidemic . . 25 June 2020: End of 10th EVD epidemic: This epidemic infected 3,470 people and killed 2,287, leaving 1,171 survivors. This epidemic had a case fatality rate of more than 65%. 24 September 2020: The OIA is revised for the 6th time to extend the timeframe to 30 June 2021 and Budget decreased from CHF 61m to CHF 56m 18 November 2020: End of 11th EVD epidemic declared by the DRC Ministry of Health. A total of 130 cases and 55 deaths were recorded since the beginning of the epidemic. IPC is being conducted in 11 locations including 9 health centres , DRC RC premises and Mbandaka Prison. PSS for volunteers is also continuing. 7 February 2021: 12th EVD epidemic declared, the Minister of Health of the Democratic Republic of the Congo declared an epidemic of Ebola Virus Disease after the laboratory confirmation of one case, an adult female was reported in Biena Health Zone in the territory of Butembo, North Kivu Province. 31 March 2021: The OIA is revised for the 7th time to extend the timeframe to 30 September 2021. This gave a minimum surveillance period required even if the transmission was quickly ended . 30 April 2021: IFRC issued the 9th Operation Update to ensure alignment with the OIA strategy and showed achievements of Emergency Plan of Action Final 3 May 2021: End of 12th EVD epidemic declared by the DRC Ministry of Health. A total of 12 cases confirmed and 6 deaths were recorded since the beginning of the epidemic. This came just three months after the first case was recorded.

DR Congo: Transcription de la conférence de presse conjointe de la Représentante spéciale du Secréta

15.01.2024 23:40 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: Government of the Democratic Republic of the Congo, UN Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of the Congo Please refer to the attached file. Vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères et Francophonie : Je voudrais certainement en accord avec Madame la Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies en RDC et Cheffe de la MONUSCO et vous exprimer nos remerciements les plus sincères pour avoir bien voulu répondre à notre invitation. C'est le weekend, généralement le samedi, on a des invitations. Vous avez tenu à être avec nous aujourd’hui dans cette salle du gouvernement. Contrairement peut-être à ce qu'a dit le modérateur, nous ne faisons pas de discours, c'est une communication conjointe que nous faisons aux médias pour informer l'opinion nationale internationale de ce que nous avons fait, de ce que nous sommes en train de faire ensemble pour faire aboutir le retrait de la MONUSCO, rappelez-vous, qui a été décidé par le Conseil de sécurité, je crois depuis 2018. Et donc je crois que ce n’est pas pour vous inonder de discours philosophiques ou politiques. À cet égard, pour ceux qui ont eu le temps de le suivre, il vous souviendra qu’en septembre de l'année dernière, en fait, ça devient l'année dernière, le Conseil s'était réuni pour examiner successivement le rapport que le Secrétaire général lui a fait le rapport, si je ne m'abuse du mois d'août et la lettre que le gouvernement de la République démocratique du Congo lui a adressée à travers la plume du ministère des Affaires étrangères. La lettre qui portait sur le choix que le gouvernement a fait d'obtenir le retrait accéléré et encore une fois non précipitée. Un retrait progressif, un retrait responsable et un retrait réussi de la MONUSCO à partir de décembre de l'année qui vient de passer. Après, comme on dit chez les magistrats ou le Conseil facultaire ou universitaire, après débat et délibération, le Conseil a pris, bonne note du rapport du Secrétaire général et a pris acte de la demande du gouvernement congolais et a chargé le comité conjoint,- il existe un comité conjoint pour ceux qui le savent pas, MONUSCO-Gouvernement de la RDC, un comité qui a pour tâche essentiellement de se concerter lorsqu'il y a des initiatives à prendre, des décisions ou des choix à faire par rapport à l'action des Nations Unies à travers la RDC. Et donc après avoir adopté, après avoir accepté le retrait accéléré, responsable, le retrait réussi, progressif de la MONUSCO, il nous a été demandé donc par le Conseil, de faire ce travail-là. Nous n'avons pas tardé. Nous nous sommes retrouvés, je crois, en début du mois de novembre pour mettre en exécution cette tâche que le Conseil nous a donnée à travers la déclaration du 16 octobre de son président. Nous avons travaillé. L'équipe des experts dans un premier temps du gouvernement et de la MONUSCO et ensuite, on s’est retrouvé avec les experts, Madame Bintou et moi. Évidemment, elle, Représentante des Nations Unies à travers la MONUSCO et moi, le gouvernement de la République. Je dois souligner que le travail a été fait avec un sens élevé de responsabilité, avec un esprit constructif, en pleine collaboration, en harmonie et je peux le dire sans peur d'être contredit, nous avons fait un travail en toute responsabilité et nous partageons les conclusions qui ont été consignées dans la note qui porte effectivement sur le désengagement complet de la MONUSCO de la RDC. Cette note en ce qui me concerne, je l'ai soumise au président de la République et au gouvernement. En ce qui concerne Madame Bintou, certainement que la hiérarchie a été informée. Après ces informations à nos structures respectives, nous nous sommes assigné le devoir de les saisir ensemble. Le Président du Conseil de sécurité pour que le Conseil examine la programmation que nous avons suggérée et qui a été avalisée, comme je viens de vous le dire. Bonne nouvelle, le Conseil s’est réuni, je crois le 19, et a adopté notre proposition à travers sa résolution 2717. Et donc aujourd'hui nous sommes dans la phase de mise en œuvre de cette résolution-là, et à ce stade, il faut relever et souligner avec force qu’il ne peut plus y avoir un débat quelconque sur le principe du retrait de la MONUSCO ; il ne peut plus y avoir d’atermoiements, comme disait le Roi Baudouin, parce que nous sommes à Kinshasa, il ne faut pas non plus avoir la précipitation inconsidérée et ça, c'est la règle que nous avons observée de part et d'autre pour que nous puissions réussir cette entreprise qui ne manque pas de délicatesse et des zones à haut risque qu'il faut éviter en tout cas, gérer avec sagesse et encore une fois avec responsabilité pour que, comme l'a dit le président Tshisekedi, à la tribune de Nations Unies, je me rappelle le 21 septembre, le retrait de la MONUSCO de la RDC, soit un modèle réussi de retrait d'une force des Nations Unies qui est déployée dans un pays pour y restaurer la paix et promouvoir, si vous voulez, les principes universels, les valeurs de démocratie, l’État de droit et le développement partagé dans ce pays-là. Donc on a fait ce travail-là. Certainement que Madame Bintou va vous donner la quintessence des grandes lignes. De notre côté, pour le Plan de désengagement de la MONUSCO qui vient d'être adoptée par le Conseil de sécurité, nous travaillons, d'arrache-pied avec tous ceux qui sont concernés. De de notre côté du gouvernement, il y a Madame la ministre d'État au Plan, peut-être qu'elle est retenue, il y a mon collègue, le ministre de la Communication, il y a le ministre, le Vice-Premier ministre de la Défense, qui est concerné, le Vice-Premier ministre de l'Intérieur, qui est aussi impliqué et nous travaillons ensemble pour que ça puisse aboutir pour l'essentiel à des points importants, non seulement que le débat est clos, ne peut plus y avoir de discussions. Sur le retrait de la MONUSCO en termes de principe et en termes d'engagement politique des Nations Unies et de la RDC. Et pour la petite histoire, je voudrais rappeler certaines phrases fortes : Monsieur le Secrétaire général des Nations unies, lorsqu’il a reçu le président. À New York en septembre, nous sommes arrivés dans la salle de réunion, avant que l'on ne puisse aller plus loin dans sonmot d'introduction, M. Antonio Guterres a affirmé haut et fort, il a dit au président : « vous demandez que la MONUSCO s'en aille, je vous dis que nous voulons nous en allez. Donc tout s’est résumé à travers ce bout de phrase-là qui est assez significatif et qui guide ce que nous faisons aujourd'hui. Le retrait a commencé. Vous allez me dire qu’est-ce que le VPM raconte là, on est encore dans les discours, dans les liminaires. Non, le retrait a commencé dans ce sens que nous sommes à pied d'œuvre comme convenu pour fixer les modalités pratiques et pour essayer d'amorcer graduellement, mais certainement le processus de manière, comme je vous ai dit, à ne pas perdre le pied à un moment ou à un autre. Donc on a commencé le retrait. Le retrait séquencé sur l'ensemble de l'année 2024 et de sorte que la première étape va de maintenant jusqu'au mois d'avril. Nous allons faire l'évaluation, c'est prévu. Après le mois d'avril, nous arrivons à une évaluation que moi j'appelle politique et stratégique au mois de juin et on verra déjà à partir du mois d'avril s'il faut passer, parce que nous commençons avec le Sud-Kivu, Mme Bintou Keita va vous donner un peu plus de détails, s'il faut passer à la province du Nord Kivu ou de l’Ituri, selon les données de l'évaluation que nous aurons à ce moment-là de manière que, après le Sud-Kivu, le Nord-Kivu, nous puissions nous retrouver avec la dernière province et dans tous les cas, tout doit être fait pour que, à la fin de cette année, nous puissions, si j'ose le dire, nous retrouver en fait pour nous féliciter mutuellement, pour remercier les Nations Unies qui ont fait le travail parce qu'on ne sait jamais ce que serait le Congo sans la MONUSCO, personne ne peut me le dire et pour ensemble consolider les perspectives que nous aurons tracées et les mettre en œuvre, car il y a pas de Congo sans Nations Unies, il n'y a pas de Nations Unies dans sa configuration actuelle sans le Congo, je laisse la parole à Madame Bintou pour les détails. Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies en RDC : Bonjour à tous et à toutes, Bonjour aux Excellences, à Son excellence Monsieur le Vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères et de la Francophonie, Messieurs les ministres, les membres du gouvernement, la délégation gouvernementale. Bien sûr, Bonjour et bienvenue aux médias et à mes collègues, les Représentants spéciaux adjoints du Système des Nations Unies et aussi à tous les collaborateurs et collaboratrices. Tout d'abord, une très bonne année, une très bonne et heureuse année 2024. Il y a beaucoup de choses qui ont déjà été dites par Son Excellence, mais pour moi, je pense qu'il est important de mettre l'emphase sur le fait que nous devons aussi remercier dans cet accompagnement avec le désengagement complet de la MONUSCO, nous devons remercier toutes les personnes qui sont dans cette salle et d’autres qui ne sont pas dans cette salle qui ont accompagné le dialogue avec les membres du Conseil de sécurité. Donc, nous devons remercier le Conseil de sécurité qui, à travers sa déclaration présidentielle du 16 octobre, a pavé le chemin qui nous a permis de travailler sereinement, en excellente entente avec toute la délégation gouvernementale, nos collègues du système des Nations Unies. Et aussi en consultation avec les partenaires qui sont ici présents à Kinshasa pour arriver à ce moment où nous parlons du désengagement de la MONUSCO. Alors je tiens à préciser que le désengagement de la MONUSCO, ce n'est pas le désengagement des Nations Unies. Les Nations Unies sont présentes avant, pendant et après l'existence d'une mission de maintien de la paix. Donc c'est important de comprendre que lorsque nous faisons le désengagement, nous faisons aussi une transition de responsabilités, d'accompagnement de l'équipe pays des Nations Unies aux institutions nationales, comme ils le font à travers leur cadre de coopération qui est signé avec le gouvernement congolais. Et aussi de savoir que, en ce moment même, les Nations Unies, donc les agences, fonds et programmes, sont en train de travailler avec toutes les autorités nationales pour avoir un cadre de coopération qui va couvrir 2025-2029 et ils sont maintenant à pied d'œuvre pour faire l'état des lieux. Et ça va nous aider dans le processus de désengagement. Un élément important aussi, c'est que les Nations Unies, à travers les agences, fonds et programmes, restent présentes. Le Vice-Premier ministre nous a parlé du séquençage de ce désengagement de la MONUSCO en trois phases distinctes, mais interreliées. Nous commençons avec le Sud-Kivu. Et pour le Sud-Kivu, nous sommes déjà à pied d'œuvre, comme il l'a expliqué, parce que nous avons un chronogramme sur lequel nous nous sommes agréés. Et ce chronogramme a été adopté par le Conseil de sécurité dans notre mandat, la résolution 2717, disant très clairement que, en adoptant, en endossant le plan de désengagement que nous avons signé conjointement vous et moi le 21 novembre, ils acceptent que nous nous désengagions en première étape, en première phase du Sud-Kivu. Et là je pense qu'il y a des informations importantes à vous donner, c'est que dans ce plan de désengagement qui est public maintenant, j'espère que vous le lirez, le 30 avril 2024, en principe, nous sommes en train de travailler avec la Force, avec les FARDC, la PNC et tous les autres collaborateurs et collaboratrices au niveau de la partie gouvernementale et aussi des Nations Unies pour que les troupes de la MONUSCO soient parties fin avril, le 30 avril du Sud-Kivu. Alors qu'est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire que les FARDC et la PNC vont renforcer leur présence dans le Sud-Kivu et notamment dans les endroits où nous avons les personnes déplacées internes qui pour le moment sont sous la responsabilité des casques Bleus et ça veut aussi dire que fin avril, comme l'a dit Son Excellence, nous devons être très clairs que pour la protection des civils. Au 1er mai, la MONUSCO va se focaliser sur le Nord-Kivu et l’Ituri, pour ce qui concerne la protection des civils. Donc la protection des civils au Sud-Kivu, à partir du 1er mai sera la responsabilité unique de la RDC, donc des forces de sécurité nationales. Ensuite pour ce qui concerne la fermeture effective du Sud-Kivu, ça sera le 30 juin 2024 et le 30 juin 2024, Son Excellence nous l'a dit également, le Conseil de sécurité attend une évaluation politique, stratégique et opérationnelle de comment s'est passée la première phase du désengagement de la MONUSCO du Sud-Kivu, avec la concomitance du renforcement des capacités nationales et provinciales pour les responsabilités qui sont transférées non pas aux agences, fonds et programmes du système des Nations Unies, mais à l'autorité gouvernementale de la RDC. Donc ça c'est un élément absolument important à comprendre. Donc le 30 juin : le Conseil de sécurité reçoit un rapport d'évaluation, on va dire. Mais entre-temps, il y a un principe que nous avons agréé avec Son Excellence et les équipes, c'est que tous les trois mois, nous allons faire une évaluation de l'état des lieux de comment nous sommes en train de mettre en œuvre ce plan de désengagement. Parce qu’un désengagement, c'est quelqu'un qui se retire et c'est quelqu'un d'autre qui vient en renfort. Et donc en étant francs, sincères et transparents sur la manière dont se fait la mise en œuvre, nous avons aussi décidé communément, ensemble, que nous allons régulièrement avoir des points de presse pour expliquer comment nous avançons dans ce processus de désengagement. Et ça veut aussi dire que pendant le moment où on est en train de travailler à mettre en œuvre le programme que nous donne le mandat du Conseil de sécurité avec la protection des civils, le PDDRCS, dont tout le monde connaît le sigle maintenant, mais je vais quand même le dire en entier, le Programme de désarmement, Remobilisation, Réintégration à base Communautaire et Stabilisation, plus la réforme du secteur de sécurité avec les droits de l'homme, avec Femmes, paix et sécurité ; Jeunes, paix et sécurité. Tout ça ensemble. C'est que nous allons avoir une trajectoire qui va nous amener essentiellement à dire que notre mandat doit être mis en œuvre pendant que nous nous désengageons et en même temps, nous préparons les prochaines phases. Vous comprenez, donc, il y a un cheminement, on se retire, mais on doit mettre en même temps en œuvre le programme. Nous devons en même temps préparer les phases subséquentes, donc la phase 2 qui est le Nord-Kivu et la phase 3 après qui est aussi le retrait de l’Ituri. Son Excellence a parlé du désengagement complet. On considèrera que la MONUSCO en tant que mission sera retirée complètement de la RDC lorsque nous avons mis en œuvre la phase 3 qui est la phase qui concerne la province de l’Ituri. Donc voilà le design. Nous avons fait un rapport de désengagement qui est absolument consensuel, en très bonne entente, endossé par tout le monde, le Conseil de sécurité, et qui a commencé à être mis en œuvre. Donc nous attendons que nous tous nous retroussions les manches et que nous délivrerions sur le contenu que nous avons agréé dans ce plan de désengagement. Et très clairement, il va y avoir maintenant dans ‘’retrousser les manches’’, aller au niveau des provinces et travailler avec les instructions au niveau central avec les autorités provinciales, locales pour que nous soyons dans une mise en œuvre qui soit compris de tous et de toutes, et aussi de faire en sorte qu'il y ait une communication continue qui accompagne ce que nous sommes en train de faire et comment nous sommes en train de le faire et pour ça, il nous faut vulgariser, disséminer le contenu du plan de désengagement. Et ça, c'est quelque chose qui est de la responsabilité de tous et de toutes. Côté gouvernement, côté des Nations Unies, mais aussi côté des médias et aussi côté de la société civile et de tous les partenaires qui accompagnent la RDC. Et finalement, si je peux terminer, et s'il y a des détails que j'ai oublié, n'hésitez pas à me les faire savoir. C'est que, en ce qui concerne la manière dont nous allons travailler, il est clair que toutes les ressources qui sont nécessaires pour accompagner cette transition et ce désengagement et cettemise en œuvre du mandat pour ce qui concerne les agences, fonds et programmes, il va falloir que le gouvernement et les agences, fonds et programmes se mettent ensemble pour préparer un plan de mobilisation de ressources pour que tous les efforts qui ont été faits à travers ces années avec l'appui de la MONUSCO, que les agences puissent effectivement continuer à aider leurs partenaires nationaux. Donc il faudra mobiliser des ressources à la fois humaines, financières, matérielles, etc. logistiques, tout ce qui doit être en place. Et là, je veux remercier et terminer avec ça, remercier le chef de l'État qui par ailleurs, je le félicite pour sa réélection et son deuxième mandat en disant le fait de dire à l'Assemblée générale qu'il veut que la RDC soit un modèle de retrait d'une opération de maintien de la paix dans un pays, moi je dis, c'est tout à l'honneur de la RDC. Et nous, avec toute l'équipe des Nations Unies, y compris les collaborateurs et collaboratrices de la MONUSCO, nous sommes engagés dans cette vision et nous voulons que tout se passe au mieux parce que ça sera l'héritage qui écrira l'histoire que nous tous, nous avons concouru à ce qu’il y ait un modèle qui soit un modèle pour le monde, bien sûr, pour les opérations de maintien de la paix, mais dans un partenariat, dialogue et travail ensemble. Je sais qu'ici on dit, on est ensemble. Donc on est ensemble pour faire en sorte que la vision du chef de l'État se transforme en une réussite pour la RDC et pour le monde. The full transcript of the conference

DR Congo: RD Congo : Situation de la lutte contre la rougeole en RDC

15.01.2024 15:00 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: Government of the Democratic Republic of the Congo, Health Cluster, UN Children's Fund, World Health Organization Please refer to the attached Infographic.

DR Congo: Cadre de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe 2015 – 2030

12.01.2024 17:20 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: Education Cluster, Save the Children, UN Children's Fund Please refer to the attached file. Objectif: Ce manuel vise à accélérer la mise en œuvre du Cadre de Sendai en RDC, conformément à ses principes directeurs, ainsi que par la mise en œuvre de l’article 11 de la Convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées . Ce faisant, une optique intersectionnelle devrait être appliquée aux quatre domaines prioritaires du Cadre de Sendai, en évitant de catégoriser les groupes sociaux selon des caractéristiques uniques et en reconnaissant comment les identités socioéconomiques telles que le genre, la richesse, l'orientation sexuelle, l'âge, l'éducation, l'origine ethnique, le handicap et d’autres facteurs produisent des inégalités et de l’exclusion dans la RRC. Plus important encore, les personnes handicapées et leurs organisations représentatives, y compris les organisations dirigées par des femmes, devraient être à l'avant-garde de la conception et de l'évaluation des initiatives de RRC et des initiatives humanitaires.

Democratic Republic of the Congo - Floods

12.01.2024 17:20 Country: Democratic Republic of the Congo Source: European Commission's Directorate-General for European Civil Protection and Humanitarian Aid Operations Heavy rainfall has been affecting the north-eastern Democratic Republic of the Congo over the last months, causing floods and flash floods due to the rising of the Congo River water level that has resulted in casualties and damage. According to media, as of 12 January, at least 300 people died and nearly 300,000 households have been affected by floods, the capital Kinshasa is one of the most affected areas. In addition, tens of thousands of houses have been destroyed. Over the next 48 hours, more rainfall is forecast over the south-eastern Democratic Republic of the Congo and Kinshasa Province.

DR Congo: RDC : la RVF alerte sur la "montée exceptionnelle" des eaux de fleuve Congo

12.01.2024 08:30 Country: Democratic Republic of the Congo Source: Radio Okapi Publié le ven, 29/12/2023 - 05:25 | Modifié le ven, 29/12/2023 - 05:33 Dans un communiqué publié jeudi 28 décembre, le directeur général adjoint de la Régie des voies fluviales , Divine Mulumba Kapinga, tire la sonnette d'alarme sur la "montée exceptionnelle" des eaux du fleuve Congo et ses affluents. La RVF demande aux autorités publiques et à la population de prendre des mesures qui s'imposent afin de se prémunir de ces inondations, qui touchent à la quasi-totalité de la Plaine inondable de Kinshasa. La même source précise qu’au vu de l’évolution exceptionnelle du niveau d’eau du fleuve Congo en date du 28 décembre et à l’allure de la remontée des eaux qui rapproche de celle de 1961, ces inondations menacent les activités économiques et les populations riveraines. Elles exposent également la population aux pertes en vies humaines et aux maladies d'origines hydriques. Une partie des quartiers Ndanu et Petro-Congo , le long de la rivière N’djili sont sous eaux. Depuis le début du mois, la cité de Bumba, dans la province de la Mongala, est confrontée à de graves inondations. La catastrophe a touché plusieurs quartiers, ainsi que le bâtiment administratif, dont les activités sont délocalisées. Plus de 350 familles des localités de Gobu-njii, au groupement Dhendo, territoire de Djugu sont aussi affectées, depuis quelques jours, par les inondations des eaux du Lac Albert. Dans une communication, jeudi dernier, le porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya a fait savoir que la situation des inondations et autres glissements de terres qui frappe quelques villes du pays a été au centre de la cinquième réunion restreinte du Gouvernement présidée par le Premier ministre, Samuel Lukonde, le même jeudi à Kinshasa. Selon le porte-parole du Gouvernement, des ministres concernés par cette question sont instruits de prendre des dispositions qui s’imposent afin d’assister notamment des familles affectées par ces catastrophes naturelles.

DR Congo: RDC : Déclaration de la porte-parole sur les élections en République Démocratique du Congo

12.01.2024 00:01 Country: Democratic Republic of the Congo Source: European Union 11.01.2024 EEAS Press Team L'Union européenne prend note de l'annonce des résultats définitifs de l'élection présidentielle par la Cour constitutionnelle, qui déclarent vainqueur le président Félix Tshisekedi. Elle salue l’enthousiasme et la volonté des citoyens congolais d’avoir fait valoir leurs voix, dans le calme malgré les difficultés logistiques. Elle souhaite plein succès aux autorités et à l’ensemble des citoyens à l’aube de ce second mandat. Plusieurs missions d’observation électorale ont néanmoins documenté de nombreux cas d’irrégularités et d’incidents ayant affecté l’ensemble du processus électoral. L’UE encourage les institutions en charge, notamment la Commission électorale nationale indépendante et les instances judiciaires à répondre à ces préoccupations et à poursuivre les prochaines étapes du processus électoral dans la plus grande transparence et dans le plein respect de la législation congolaise en vigueur. L’UE salue la publication des résultats bureau de vote par bureau de vote par la CENI, mais, parallèlement, regrette son manque de communication sur des aspects clé du processus électoral, ce qui n’a pas contribué à apporter la clarté souhaitable au vote et à la compilation des résultats. L’UE appelle les autorités compétentes à enquêter de manière équitable et transparente sur toutes les préoccupations exprimées concernant le non-respect des procédures de la loi électorale et les allégations de fraude et de violence. En lien avec les rapports finaux des différentes missions d’observation électorale, l’UE offrira des recommandations pratiques à travers sa mission d'experts électoraux, afin de contribuer à mettre en œuvre les réformes indispensables pour renforcer la confiance de toutes les parties prenantes dans les institutions et procédures électorales. L’Union européenne souhaite rester engagée aux côtés de la République Démocratique du Congo et renforcer les liens entre ses populations. La participation active de tous les acteurs politiques, économiques et sociaux de la RDC au développement et à la pacification du pays est essentielle et doit se faire dans le respect des libertés et des droits fondamentaux, et en écartant toute polarisation et toute violence. CONTACT DETAILS NABILA MASSRALI Spokesperson for Foreign Affairs and Security Policynabila.massrali@ec.europa.eu +32 2 29 88093 +32 460 79 52 44 JENNIFER SÁNCHEZ DA SILVA Press Officer for International Partnerships/Foreign Affairs and Security PolicyJennifer.Sanchez-Da-Silva@ec.europa.eu +32 229 58316

DR Congo: Rapport de l’Evaluation Rapide Multisectorielle sur les Ecroulements des Maisons et Infras

12.01.2024 00:01 Country: Democratic Republic of the Congo Sources: Education Cluster, Save the Children, UN Children's Fund Please refer to the attached file. Contexte et justification Le 26 décembre 2023, une pluie diluvienne accompagnée de tremblement de terre s’est abattue sur la ville de Kananga et ses environs et a causé des dégâts : humains et matériels ayant généré le déplacement d’environ 6000 personnes pour faute d’abris et des biens de base, de la nourriture, des incidents de protection en général et sur les femmes en particulier ont été enregistrés. Beaucoup de blessées, des écoles détruites, etc. Le Relais humanitaire a tenu 03 réunions extraordinaire ayant pour objectif de faire la cartographie des dégâts et voir quel type d’appui à apporter au Gouvernement provincial. 03 actions principales ont été envisagées dont la rencontre avec l’Autorité Provinciale en vue d’étudier la possibilité de mener une évaluation conjointe, mener une ERM et voir si au niveau interne, un stock de contingence existe à mettre à la disposition des sinistrés.

DR Congo: République démocratique du Congo: Calendrier des réunions: Ituri, janvier 2024

10.01.2024 21:50 Country: Democratic Republic of the Congo Source: UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs Please refer to the attached file.

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